White Wind's writtings

L'Amour - 29/04/14
Quelle étrange chose que l’amour… Une chose qui nous fait bizarre dans le ventre comme dans la tête. Une chose qui fait espérer des choses que nous savons impossible. Une chose qui rend heureux. Une chose qui fait souffrir. On me dit que c’est le plus beau des sentiments. On me dit que c’est ce qui crée le plus de souffrance. Que croire ? Tenter de laisser ce sentiment m’envahir et prendre le risque de souffrir ou rester enfermée a l’abri en laissant passer l’occasion de connaitre ce bonheur ?

La gentillesse - 30/04/14
On dit que la gentillesse est une des plus belles qualités de l’homme mais je pense que c’est aussi la plus dangereuse car quand tu donnes tout, trop et que tu ne reçois rien en retour, tu souffres. Tu donnes tout ton cœur par gentillesse et tu souffres à cause de cette gentillesse. Alors à quoi bon l’être si on ne te reconnaît même pas cette valeur ? Faut-il faire le mal autour de soi pour être heureux ? Le monde est décidément pourri.

Le refoulement - 04/05/14
Le refoulement est quelque chose d’efficace mais tellement redoutable… On rejeté tout, on n’y pense plus et du coup on pense que cela s’est effacer, que tout a disparu. Mais cela vous ronge de l’intérieur. Ca persiste, c’est toujours présent et ça vous détruit de l’intérieur. Ça revient parfois à la surface, doucement et puis d’un coup et là vous êtes submerger par tous les sentiments que vous avez enfouis en vous. C’est à ce moment là où vous craquez. Vous n’êtes plus que ces sentiments, que ces sensations que vous avez tentez de cacher et qui reviennent en force vous ensevelir. Donc si j’ai un conseil à vous donner, c’est d’assumer vos sentiments, d’assumer tout ce qui vous arrive et de foncer dedans la tête haute, les épaules redressées et le sourire aux lèvres afin qu’ils ne reviennent pas vous détruire définitivement.


L'amitié - 13/06/14
Tu es toujours là pour moi. Même quand je suis désagréable, même quand je pique une crise, tu es là. Quand je te repousse, tu restes patient et tu attends que je me calme, puis tu reviens en douceur, et on reprend là où l’on en était. Tu m’écoute quand je parle, que ce soit pour me plaindre ou pour te dire ce qui m’est arrivé de génial dans la journée. Tu me fais rire et me change les idées toujours aux bons moments. Tu m’appelle pile quand j’ai le plus besoin de toi, parfois sans même le savoir. T’es quelqu’un de génial qui me comprend et m’accepte comme je suis. Tu me garde à flot quand j’ai l’impression de couler, tu es mon rempart contre la tristesse et la solitude.  Tu es aussi là pour me remettre à ma place ou m’ouvrir les yeux quand je dévie, tu ne m’abandonne jamais. Et pour tout cela, je ne te remercierais jamais assez. J’essaye d’être là coute que coute pour toi, en espérant rembourser cette éternelle dette que j’ai envers toi.


Le sourire - 13/06/14
Le sourire est magique. Il veut tout et rien dire à la fois. Il exprime tellement de choses, que parfois même les mots ne suffisent plus à le décrire. Il est insaisissable et unique par rapport à chaque personne. Alors je vais vous parler d’un seul sourire. Ce sourire. Ce sourire qui m’a fait rêver, qui a fait naitre mon propre sourire. Ce sourire qui m’a donner de l’espoir et qui a fait naitre en moi un sentiment unique. Ce beau sourire unique qui n’apparait que sur les lèvres de cette personne. Ce sourire beau et mystérieux à la fois dont j’ai mis de longs mois à en comprendre toutes les significations, toutes les facettes : la joie, la malice, la tristesse, la gêne… Toutes ses émotions qui passent par un simple petit étirement des lèvres. Voilà en quoi le sourire est unique, et en quoi réside son pouvoir de faire tomber amoureux les gens.

La peur - 18/10/14
Le souffle court, le sang qui bat dans les tempes, les mains moites, le cœur qui s’emballe, la gorge sèche, la paralysie totale. Une panique incontrôlable, un mal être dont on ne peut pas y échapper. Voilà ce qu’est le sentiment de la peur. Voir ce que vous redouter plus que tout au monde se réaliser, sans ne rien pouvoir faire, sans pouvoir changer quoi que ce soit. Vous voulez bouger, dire quelque chose mais rien. Aucun son ne sort de votre bouche, aucun muscle de votre corps ne bouge et vous voyez votre pire cauchemar défiler devant vous. Vient ensuite le sentiment de vide. L’état de choc comme on l’appelle. Cette fois, vous bougez, vous parlez mais vous ne contrôlez rien, ne vous rendez compte de rien. Vous êtes déconnecté de la vie réelle, vous n’avez conscience de rien. Puis la douleur. Cette chose qui vous déchire de l’intérieur, vous consume tout entier, vous brise en mille morceaux sans que personne ne voit rien, n’entende rien. Vous êtes seul au monde et personne n’est là pour vous sauver.

Misa Klein (personnage RP de Namisa) - 19/10/14
Blessée, tiraillée, elle se protège de tout. Tu pourras lui dire tout ce que tu voudras, lui faire toutes les promesses du monde, elle ne te laissera pas t’approcher. Elle s’est construit un mur de glace autour d’elle et seules les personnes qu’elle a choisies pourront l’effleurer. Mais jamais elle ne laissera quiconque le franchir. Car, à présent, ce mur est une partie d’elle-même, il est ancré en elle et elle refuse de le laisser tomber. Ce mur la sauver et elle ne s’en détachera pour rien au monde. Elle connait ses défauts, ses qualités et elle joue avec. Sa beauté, son coté mystérieux et impénétrable sont des façades, qui t’attire vers elle mais sa haine est sa plus belle arme, son arme la plus fatale.


La confiance en soi - 22/10/14
Quand tout s’effondre autour de toi, que tu n’as plus personne en qui tu as confiance, on te dit souvent de ne te fier qu’à toi-même. Mais comment avoir confiance en soi quand, après tant d’années à te rabaisser, à te sentir indigne, à penser que tu ne mérites rien d’autre que le malheur qui nous tombe dessus, il ne reste que toi face à un miroir ? Comment faire pour relever la tête quand tu ne peux à peine tenir sur tes jambes ? « Nous acceptons l’amour que l’on pense mériter » avait un jour dit un auteur. Et bien il ne s’est pas trompé. On accepte tout ce que l’on pense mériter, et en général, on mérite toujours mieux que ce que l’on croit… Notre manque de confiance en nous, nous mène à nous voiler la face, à croire que l’on est pas à la hauteur, que l’on ne mérite pas grand-chose alors que c’est tout le contraire, que l’on a un cœur en or qui vaut bien plus que n’importe quel trésor au monde. Alors il faut relever la tête, redresser les épaules et offrir ton plus beau sourire au monde parce qu’il mérite d’être admirer.

Slash Pellen (personnage RP de Pérona)  - 11/12/14
L’envoutement. Quelle chose remarquable. Faire plier les autres à chacune de mes volontés, les voir se soumettre à mes désirs comme de vulgaires toutous. On nous parle sans cesse de conscience morale, d’altruisme mais au final, quand on regarde au plus profond de l’essence humaine, on se rend compte qu’il n’est habité que par le mal. L’égoïsme, la manipulation, la corruption. Alors pourquoi lutter contre notre nature ? Pourquoi ne pas simplement se laisser aller, c’est bien plus simple. Et bien plus drôle. Voir toutes ces femmes à mes pieds, prêtes à tout pour me plaire, ses hommes me jalousés sans non plus pouvoir s’empêcher de faire ce que j’exige. Je pourrais devenir le maître du monde si l’envie m’en prenait. Mais ce serait trop de responsabilités inutiles. Je vis au dépend des autres, je n’ai besoin de faire aucun effort, je ne vis que pour moi et moi seul. Les autres vivent pour moi et m’aiment ou on l’illusion de m’aimer. Je suis un dieu parmi les hommes.


Le cycle de la vie - 28/06/15
L’hiver s’efface et avec elle, les petites brises froides et les touches de blancs sur la terre. Il emporte avec lui la mort et laisse le printemps amener le renouveau, la renaissance. Les germes poussent, les animaux se réveillent et ressortent. Le soleil refait peu à peu son apparition et l’espoir l’accompagne. L’espoir d’un renouveau, d’un nouveau départ. Laisser le passé dans le froid et avancer vers le soleil. Laisser le désespoir dans l’obscurité et avancer dans la lumière. La vie continue, le printemps est là, l’été arrivé et l’hiver refera son apparition. Alors profitez de ces belles fleurs, de cette brise fraiche et de ce beau soleil éclatant, la vie vous tend les bras.


La solitude - 29/06/15
Le silence. Le calme. Le vide. C’est en cela que réside la solitude. Tout est vide, obscur, on est entouré d’une parodie noire et lisse, sans rien pour se raccrocher, sans lumière pour nous guider. Le fond d’un gouffre sans fin. Le froid également. Le froid qui s’installe peu à peu dans notre cœur, qui se propage dans tout le corps, toutes nos émotions jusqu’à ne plus rien ressentir qui ne soit de la peine, de la rancœur, de la haine. Envers le monde entier, envers soi meme. Car oui, on est seul face à soi meme, personne n’est là pour nous entendre, nous voir, nous tendre la main. On est livré à soi meme, sans aucun espoir d’aide. Le désespoir s’installe alors. Glacial, fatal. Il engloutit tout ce qui se trouve sur son chemin, ne laissant plus une seule trace d’espoir, de lumière, d’étincelle…

L'incertitude - 30/06/15
Faire ou ne pas faire? Avancer ou rester place ? Tenter sa chance ou patienter ? Toutes ses questions qui ont milles réponses contradictoires et dont on ne peut savoir laquelle est la bonne sans risquer de se tromper. C’est quitte ou double. Ça passe ou ça casse. Voilà ce qu’est l’incertitude, le doute. Ce sentiment de ne pas savoir quoi faire, de ne pas savoir quelle décision prendre. La peur de se tromper, de le regretter mais également le remord d’avoir laissé filer sa chance. Cela torture l’esprit, empêche de faire autre chose, de manger, de dormir. On est tétanisé devant cet ultimatum. Mais laissez-moi vous donnez un conseil : La réponse à votre question, elle réside au fond de vous. La décision, c’est vous. Vous allez sans doute vous tromper et le regretter amèrement, ou sans doute prendre la bonne décision et en être fier et heureux, et tout cela dépend de vous. La solution, c’est vous. Alors ayez confiance en vous-même, soyez fort, relevez la tête, redressez les épaules et faites un choix. Car il vaut mieux faire un choix, que de rester emprisonner de l’incertitude qui vous rongera.

L'amour d'une mère - 30/08/15
Elle t’a porté neuf mois en elle. Elle t’a conçu, abriter, nourrit. Elle a déformé son propre corps pour t’accueillir. Puis elle a souffert. Contractions, sautes d’humeur, douleurs, accouchement. Mais jamais, à aucun moment, elle n’a cessé de t’aimer, te chérir plus que tout au monde. C’est pour cela que toi, tu l’aimes. Elle est tout pour toi, elle est celle qui t’a conçu, t’a mis au monde, t’a accueillis. Elle a fait de toi la personne que tu es maintenant. Tu es fier d’être son enfant. Tu es fier de dire que cette femme magnifique là-bas, c’est ta mère. De dire que le premier véritable mot qui est sorti de ta bouche, c’est le sien. Qu’elle t’a vu dans tes meilleurs comme dans tes pires moments et qu’elle était là, toujours. Au premier ou au second plan. Toujours une ombre qui plane sur toi pour te protéger. C’est ta gardienne, ta meilleure amie, ta professeure. C’est la femme de ta vie et tu en es fier.

Le passage à l'âge adulte
Quand on était petit, on avait tous hâte d’être grands. On voulait tous faire comme papa et maman, avoir un métier, faire une famille… Puis en grandissant, on s’aperçoit qu’au final, c’est Peter Pan qui avait raison. C’est beaucoup plus drôle de rester enfant. On passe notre temps dans notre petite bulle, on n’a pas affaire à de vrais problèmes d’adulte. Mais on n’a pas de poudre de fée pour aller au Pays Imaginaire. On doit grandir comme les autres et abandonner nos jouets, nos dessins animés pour aller à l’école puis trouver un travail. Comme papa et maman même si on s’aperçoit maintenant que c’est moins drôle que quand on fait semblant. Mais j’ai un petit secret à vous dire : il faut garder une part d’enfance. Une petite part de folie. Car, comme dirait une certaine personne « la plupart des gens bien sont fous ». Il faut garder ce petit grain de folie car c’est ce qui rendra votre vie belle. Vous aurez la joie de vivre, vous pourrez tout affronter. Laissez tomber les gens qui vous dise d’arrêter de faire les gamins, que maintenant on est adulte et qu’il faut être sérieux et responsables. C’est eux qui ne le sont pas en retirant de leur vie cette petite touche qui fera que vous serez épanouie et pas eux. Il faut rester un enfant dans un corps d’adulte pour vivre heureux, pas plus ! (Quoiqu’un peu d’eau fraîche et de verdure aussi !)


Voir le suicide - 25/10/15
On parle souvent de ce que quelqu’un qui s’apprête à se suicide doit ressentir. Mais imaginez ce que la personne qui trouve cette personne par la suite ressent. Voir la personne qu’elle aime, étendue sur le sol, inconsciente. Voir le sang qui coule de ses veines ouvertes, la vie s’échapper par ses coulées écarlates qui s’étalent sur le sol froid et dur. La peur, la panique, l’angoisse, l’effroi se bouscule. Elle est en train de la perdre. Elle s’en va. Elle veut s’en aller. Elle veut la quitter et la laisser errer seule dans ce monde. Ce sont des images qui resteront à jamais graver dans sa mémoire. Chaque fois qu’elle fermera les yeux, qu’elle éteindra la lumière, l’image d’elle allongée sur ce sol, lui échappant, viendra la hanter. La peur constante de la perdre à nouveau si elle survit. L’angoisse de ne pas être là, d’arriver trop tard. De ne plus la voir joyeuse ou explosant de colère. Rien. Plus rien. C’est un visage inexpressif qui se tient devant moi. Un visage mort.



La jalousie - 23/02/17
"Elle te tourne le dos. Elle rit mais sans toi. Elle se confie mais pas à toi. Elle ouvre son coeur, fait confiance, mais à quelqu’un d’autre. Tu as l’impression de ne plus exister à ses yeux, tu n’es plus rien, tu n’as plus aucune importance. Elle est heureuse, épanouie, lumineuse. Toi tu es perdu, abandonné dans l’ombre. La douleur est là, s’insinuant au fur et à mesure dans tout ton être, ta tête, tes veines, ton coeur. Elle est partout, elle fait couler tes larmes. Tu es seul, triste, désespéré. Pourtant elle est là. Elle te regarde, elle rit avec toi, elle t’ouvre son coeur. Mais tu ne le vois pas. Tu ne vois que ce qu’elle offre aux autres sans te rendre compte de ce qu’elle t’offre à toi. Tu es aveuglé par un mal qui a prit possession de toi peu à peu, sans que tu ne t’en rende compte. Et ce mal n’est d’autre que la jalousie."