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| | Concours d'écriture ! [RESULTAT] | |
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Si tu étais juge ... Tu aurais préféré le texte de ... | Le Texte 1 de Kana Alpérona ! | | 0% | [ 0 ] | Le Texte 2 de Mirajane ! | | 50% | [ 4 ] | Le Texte 3 de Pérona ! | | 25% | [ 2 ] | Le Texte 4 d'Akai ! | | 25% | [ 2 ] | Le Texte 5 de Petite Lisanna ! | | 0% | [ 0 ] | Le Texte 6 de Madoka ! | | 0% | [ 0 ] |
| Total des votes : 8 | | Sondage clos |
| Auteur | Message |
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Red
Sexe : Messages : 7935 Date d'inscription : 30/05/2012 Âge : 25 Localisation : Mitakihara Emploi/loisirs : Prêt pour plonger Humeur : Néant
| Mer 27 Nov - 10:29 |
| Hola Hello Direction One Piece ! Alors , sans tarder , je vais vous donner les résultats du concours ... Le jury constitué de 4 merveilleuses filles est ... Lucy ! Spiinda ! Yukaaa et Whiiite ! La Power Girl vous a noté vos textes ~ Il va y avoir un double post , vu que les textes des participants ne rentrent pas dans un seul post , merci ! è_é Let's go party ! - Texte 1 , Kana Alpérona :
Je me réveillais, je ne connaissais pas cet endroit. Il n'y avait personne, j'étais dans une chambre noire, sans lumière avec un miroir en face de moi. Cette pièce sentait le renfermé, je me levai du lit pour essayait de sortir et de comprendre ce je foutais là ! J'avais mes habits sur moi ce qui était plus ou moi rassurant. Je sortis de ma chambre mise un pied devants l'autre toujours dans le noir, je ne voyais ni bougie ni allumette ni de briquet et pas d'interrupteur. Je marchais toujours, quand tout à-coup, je tombais dans les escaliers. J'avais de la chance, c'était des petits escaliers, je tombais par terre à quatre pattes, j'avais ma jupette qui c'était relever, mais il n'y avait personne pour voir ma culotte et tant mieux d'ailleurs. Je me relevais avec quelques égratignures, mais rien de bien grave. Je continuais à marcher dans cette maison où devrais-je dire châteaux les murs étaient en pierre, il avait beaucoup de tours et d'escalier en forme de rond. J'avançais toujours dans le noir ceci me troublait de voir personne, j'essayais de rentrer dans une pièce, mais elle était close. Je me mettais à courir, j'avais entendu un bruit, comme si on exploser de la vaisselle par terre mes réflexes furent les premiers courir et crier, mon cœur se mettait à battre très fort, j'avais chaud et le souffle court. Je poussais une porte, j'étais à deux doigts de la fracasser contre le mur tellement je l'avais poussé fort. Je rentrais dans la pièce et m'enfermais à double tour sans même me retourner une seule fois pour voir dans quelle pièce étais-je. J'étais face à la porte et mon cœur battait tellement fort ! J'avais terriblement peur de me retourner pour voir des choses que je n'avais pas forcément envie de voir. Je pris mon courage à deux mains et je me retournais en soufflant un grand coup. Pour une foi, il y avait des bougies le long des murs. Mes yeux se posaient sur toute sorte de chose pour l'instant, je ne voyais aucun corps ou de sang, néanmoins, je posais mon regard sur quelque objet soda-masochisme enfin, je crois à vrai dire, je ne m'y connaissais pas trop là-dedans ! Il y avait un fouet, des menottes, des habits en cuir noir, des petites pincettes. Ceci mes données des sueurs froides qui me parcouraient le dos, je m'inquiétais de ce qu'il allait m'arriver ! Je courrais de l'autre côté pour essayer de sortir d'ici. Je me retournais voir s'il n'y avait personne derrière moi, quand je retourne la tête pour regardais en face de moi, je vu un grand homme vêtu de blanc avec des grandes ailes rouge tel un démon, je fessais demi-tour et courrais encore plus vite et là, je vu une personne de moyenne taille vêtue de noir avec des ails blanche tel un ange déchu. Je me croyais dans un film d'horreur et tout le monde sait que des fois même l'héroïne meure ! L'ange déchu me regardait, le démon me regardait un devant et un derrière, à ma droite un mur à ma gauche un autre mur, j'étais coincée, je ne pouvais plus m'échapper. -Que me voulais, vous ? Pourquoi êtes-vous là ? Où suis-je ? Qui êtes-vous ? Il me regardait avec des gros yeux globuleux comme s'ils ne comprenaient rien à ce que je racontais. Je les voyais se marrer, ils avaient les joues toute rouges. L'ange déchu était une fille et le démon était un garçon. Ils parlaient, mais je ne comprenais pas un traître mot de ce qu'ils racontaient. Ils passaient à côté de moi pour repartir ensemble, il ne marchait pas tellement droit et ils chantonnaient, je crois qu'ils avaient bu.
C'était la première foi de ma vie que je voyais ça, un ange déchu et un démon ensemble, puis qu'ils soient pompette me choque encore plus, la bouche grande ouverte les yeux écarquiller, je voyais l'homme prendre le fouet. Je venais de comprendre, tous ses outils bizarres étaient pour eux et non pour faire du mal à d'autre personne. Le démon me fit un clin d'œil en prenant le fouet. Après ce moment unique de ma vie, je n'avais toujours pas de solution pour me sortir de cet endroit sordide. Je décidais de sortir de cette pièce, je marchais délicatement à pas de loup, mais le sol grinçait, j'avais toujours peur de revoir un de ces être plutôt bizarre même très bizarre. Je sortais de la pièce avec un arrière-goût d'appréhension dans la bouche. Je décidais de prendre une bougie en passant, histoire de m'éclairer un peu et de ne pas retomber. Je sortais est marchais toujours histoire de trouver une sortie ou encore une pièce ou en indice pour m'aider a sortir d'ici. J'arrivais devant une porte blinder de cinq cadenas tous autant gros l'es un que les autres. Je me disais que le but était peut-être de trouver les clefs et que cette porte me mènerait à la sortie ou bien, c'était tout le contraire, mais pour l'instant, je n'avais pas le choix. Je me mettais à courir avec ma bougie à la main, et une autre main pour la protéger des coups de vent.
Dans ce château, la chaleur manquait énormément, je grelottais, mais courir me donnais un peu de chaleurs, J'arrivais dans des escaliers qui montaient, je décidais de monter, ce qu'il y avait en haut m'intriguer fortement en montant les escaliers, je glissai sur un peu d'eau, mes seins tapant la marchent d'escalier ceci me fut très mal. Par chance, ma bougie en était intacte. Je me relevais en me disant que les escaliers de ce château m'en voulaient. J'arrivais devant une porte pleine de trous , je la poussais délicatement pour éviter qu'elle tombe et que je me fasse remarquer . Je mettais la bougie en avant et marchais-je senti un pincement au niveau de mes fesses, je me retournais instantanément en poussant un petit cri, mais il n'y avait personne. Je de me disais que ça devait être à cause du stress. Je continuer de marcher pour voir ce qui se tramer dans cette pièce pour l'instant rien, il n'avait rien mis à part quelque cartons et quelques petites feuilles qui traînaient, je me poser contre un mur pour souffler un peu. Tout à-coup je sentais une pression au niveau de ma tête comme si on me caresser les cheveux , je commençais à avoir de plus en plus peur je me retournai voir s'il y avait quelqu'un même si j'étais contre un mur , à ce moment-là tous peut arriver mais il n'y avait personne , aucun animal rien. J'avais laissé la porte ouverte de peur que si on la fermait, on ne puisse plus en sortir Je me relevais pour aller voir un peu plus loin ce que je pouvais trouver d'intéressant, mais rien. La porte se ferma derrière moi telle un coup de vent, je sentis une poussé d'adrénaline montée en moins, je commençais à me demander si cette pièce n'était pas hantée. Je voyais les feuilles volées toute seuls les cartons tremblés et ça enchaîner action sur action. Mes envies de sortir de cette pièce s'augmentaient de plus en plus. Je levai la tête et vu un pendule, je me rappelai que quand je mettais réveiller, il y avait une montre accrocher à mon bras avec écrit trois heurs, l'heur afficher étais de une heure trente, et si mon destin avaient sonné dans une heure et demi, ce n'était pas possible, il y avait tellement de choses que je ne connais pas tout ne pouvaient pas s'arrêtais comme ça !
Je reprenais mes esprits et déterminée comme jamais j'allais au fond de la pièce où il se trouver une petite hache, je pensais qu'elle allait bien me servir, je la prenais dans mes mains m'avançais devant la porte. J'essayais de l'ouvrir, mais elle ne voulait pas, je la décapiter en mille morceaux. Je sentais qu'on me faisait chatouille pour me déstabiliser, mais ça ne marchait pas, cette pièce était vraiment hantée, sur le mur étais marqué " Félicitation". Je courrais, courrais et encore courrais, je ne voulais plus jamais revenir ici. J'arrivais devant une grande piscine. Un château avec une grande piscine, c'était tout de même plutôt rare. Je me demandais si cette eau était dangereuse, mais j'étais sale pleine de poussières. Je me mettais en sous-vêtement plongeait dans l'eau qui avait une température parfaite. Ça faisait du bien de pouvoir se nettoyer un peu même si mon cœur battait très vite, dans l'eau, il pouvait se passer beaucoup de choses. J'en profitais pour plongeai ma tête dans l'eau et faire quelque aller-retour. Je relever la tête juste pour reprendre, mon souffle sans jamais bien faire attention à ce qu'il y avait autour de moi. Je m'arrêtais pour reprendre un peu mon souffle quand derrière moi, j'entendis des bruits et une personne me parla
-Alors, on en profite pour faire une petite baignade, ce château n'est pas à toi, tu te prends pour qui de faire comme chez toi ?
-Il n'y avait personne et je ne dérange personne après tout.
-Mademoiselle à grosse poitrine, on va se calmer quand on n'est pas chez on demande la permission, un minimum de politesse.
-Ouais, désolé, je recommencerai plus
Pour qui il se prenait à me parler comme ça celui-là ! Je me rhabiller quand tout à Il s'approchait de moi et commençait à me regarder de haut en bas. Je remarquer sur sa poche droite qu'il avait un trousseau de clefs, il en avait cinq le même nombre de cadenas sur cette porte mystérieuse. Je glissai sur le garçon en voulant mettre mon pantalon ce qui n'était pas voulu. j'étais allongé sur lui et tout à-coup il changea de forme il devenait très laid avec des veines qui ressortaient il avait des dents pourries telle un zombie. j'étais affolé je ne comprenais pas pourquoi sa tête changeais , j'avais peur je me débattais j'essayer de me sauver mais je n'y arrivais pas il me bloquait me tenais fort . Je criais et lui mettais un coup de genou dans l'entre-jambes, j'en profitais pour lui dérober son trousseau de clefs et je m'enfuyais aussi vite que possible. J'avais les larmes au bord des yeux et l'espoir de pouvoir enfin me sauver d'ici. J'arrivais devant la porte à moitié essoufflée et les larmes couler sur ma joue. j'essayais de déverrouiller les cadenas en tremblant un cadenas c'était ouvert ,puis un , puis deux , puis trois , puis quatre et enfin le dernier . Je regardais ma montre, il rester dix minutes, je poussais la porte des frissons se hérisser sur ma peau. La porte s'ouvrait petit à petit, je tremblais de peur et de froid, je sentis un grand coup de vent. C'était la sortie, cette porte mener directement à l'extérieur, je sortais du château et la porte se fermait directement après que je sois sorti. Je me mettais à courir et à pleurer, je rentrais en direction de cher moi, il pleuvait, il fessait froid, cinq minutes étaient indiquer sur ma montre. J'arrivais chez moi, je m'enfermais à double tour, me posais contre la porte et passais ma nuit à pleurer.
- Texte 2 , Mirajane :
Un mal de crâne persistait. Le sol semblait tanguer sous ses pieds. L’odeur nauséabonde emplissait maintenant la pièce. Depuis quand était-il là ? Quelques minutes ? Des heures ? Plusieurs jours ? Peut-être même des semaines qui sait... Il n’aurait même pas été étonné d’apprendre qu’il avait finalement passé sa vie entière enfermé ici. Les minutes s’écoulaient aussi lentement que les gouttelettes d’eau perlant au rebord de la fenêtre. Fermée bien évidemment. Comme la porte d’ailleurs. Fermée, toujours fermée. A croire qu’elle ne s’ouvrirait jamais. Peu importe qui la franchirait, tant qu’il n’était plus enfermé dans cette sombre pièce avec pour seul amis les toiles d’araignées depuis longtemps abandonnées. Recroquevillé dans un coin, il voyait à peine le bout de ses pieds, ni même ses genoux tremblant dans la pénombre. Il commençait sérieusement à faire froid. Était-on en hiver ? Quelle heure était-il ? Qui était-il ? Franchement il n’en savait rien. Seule une vive douleur au crâne lui rappelait qu’il était effectivement encore de ce monde. Essayant vainement de se rappeler les événements passés, il abandonna bien vite. Il lui fallait un nom et vite. Un nom, un âge, un passé. Se passant machinalement une main sur le crâne, il la retira bien vite, poisseuse de sang. Son sang. Il s’était sérieusement cogné la tête. Mais s’était-il vraiment cogné ? L’image d’une barre de fer lui arrivant dessus plus vite que prévu lui revint en mémoire. La barre de fer, la douleur, puis plus rien. Le noir total. Fichu coup, mais il espérait sincèrement se souvenir de beaucoup plus... Un nom, il lui fallait un nom. Peut-être commençait-il par un D... Ou un R. Non, un E. Oui c’était ça : son prénom commençait par un E. Et après ? Rien. Il se contenterait du E jusqu’à trouver les lettres manquantes.
Un cri le sorti de ses réflexions. Puissant, douloureux, aiguë. Se relevant brusquement, E - puisqu’il fallait bien lui donner un nom - fut en quelques enjambés à peine près de la porte. Petite, étroite, sale. Beaucoup trop sale. Et fermée surtout, belle et bien fermée. Il s’était réveillé là il y avait quelques minutes ? Heures ? Jours ? Enfermé et seul. Bien sûr son premier réflexe avait été de s’acharner sur la poignée, car peu importe qui il était et ce qu’il faisait là. Il n’y avait qu’une échappatoire et c’était cette porte. Malheureusement, ses coups de pieds rageux l’avait à peine abîmé et il était retourné se recroqueviller dans un coin. Les cris redoublèrent. Une fille ? Peut-être. Peut-être pas. Hésitant à s’acharner de nouveau sur la poignée, il se remit à tambouriner, appelant à l’aide. Ses poings s’entrechoquèrent contre le métal, lui laissant échapper un cri de douleur. Ses coups résonnaient à travers la pièce, peut-être même à travers tout le bâtiment, lui vrillant les tympans. Jurant, il se plaqua les mains ensanglantées sur les oreilles et retourna s’asseoir. E ne voulait plus entendre. Il ne voulait plus ressentir. Il ne voulait plus penser. Le ''plic ploc'' régulier des gouttes d’eau tombant avec désespoir sur le sol, formant maintenant une petite flaque lui servi à compter les secondes. 1...2...3...4 Qu’on l’achève donc. 16...17...18...19 Quelle était la deuxième lettres de son prénoms déjà ? 45...46...47...48 Peu importe. Et son âge ? 50...51...52...53 Il lui fallait un âge. Un âge, maintenant, tout de suite. Un âge et une date de naissance. Une minute écoulée. Que c’était long... Quinze ? Quatorze ? Non... douze. Oui c’était ça. Il avait douze ans. E avait perdu le décompte des gouttes d’eau. Il fallait recommencer. 1...2...3... ''Clic'' 4...5... Un ''clic'', tout ce qu’il y a de plus banale. Le ''clic'' de la liberté peut-être ? Un rire se fit entendre à travers la porte, se répercutant sur les murs de la sombre pièce. Perçant et rieur, un rire de gamine. Des pas résonnèrent ensuite, pressés mais insistants. Tellement insistants que E se décida enfin à se relever et ouvrir la porte. Une porte close... qui ne l’était plus. Une sensation de peur grandissait eu fur et à mesure au creux de son ventre, frêle et petite, mais bel et bien présente. Il aurait voulu crier une nouvelle fois, car après tout n’était-ce pas ce qu’il avait fait jusqu’à maintenant ? Mais aucun son ne sortit de sa bouche entrouverte. Ouvrant fébrilement la porte, il ne découvrit qu’un sombre et sinistre couloir. Beaucoup trop terrifiant à son goût, bien plus que sa cellule crasseuse. Peut-être aurait-il mieux fait de rebrousser chemin et regagner la sécurité irréelle de la pièce pour y rester recroquevillé dans un coin et attendre. Attendre quoi ? Les prochaines lettres de son prénom ? Un E. Et ensuite ?
Ensuite... et bien ensuite, quelques pas dans ce couloir. Encore quelques pas. Encore, et encore. Sans même s’en rendre compte il s’était mis à courir, rasant la vielle tapisserie grise et décolorée s’arrêtant de temps en temps pour contempler avec horreur les quelques sinistres tableaux meublant les lieux, se détériorant avec l’âge. Il finit finalement par ne plus s’arrêter. Hors d’haleine, il ferma les yeux, se concentrant uniquement sur la sensation de ses pieds frappant irrégulièrement le sol poussiéreux, n’écoutant rien d’autre que sa propre respiration désespérée. Ses jambes commençaient à le lancer, lui faisant oublier sa vive douleur au crâne. Mais il courait, comme pourchassé par la mort elle-même. Il courait et n’avait aucune envie de s’arrêter, peu importe que ses os se brisent ou que ses muscles tombent en morceau. La mort ne le rattraperait pas. Pas encore. Un nouveau ricanement. Aussi innocent et enfantin que le premier, résonnant à travers l’interminable couloir. Mais un couloir ne peut s’étendre indéfiniment. E fit halte au bout de celui-ci, fiévreux et épuisé, mais fière de sa course. Il avait sûrement loupé des escaliers ou une porte, forcement. Ses jambes lui rappelèrent bien vite la douleur les parcourant. Douleur. Douleur. Douleur. Douleur. Encore et encore. Courir était sûrement la meilleur chose à faire, courir et chercher une issue. Malheureusement son corps n’était pas de cet avis, et marcher fut sa seule option. Encore un rire... cristallin. Et puis des hurlements. Des pleurs ? Peut-être. Des cris de souffrances ? Certainement. Obligeant son esprit à se concentrer davantage, E parvint à identifier ses cris. Des mots, des phrases. Un appel à l’aide, d’après ce qu’il en comprenait. Une pensée égoïste lui traversa l’esprit, il n’était peut-être pas seul dans son cas. A ne pas savoir. A chercher. Quoi déjà ? Une issue ? Quelqu’un ? Mais peu importait, mieux valait chercher à plusieurs plutôt que seul. Mieux valait ne pas mourir seul.
Figé sur place, E hésitait. Si la personne criait, ce n’était sûrement pas pour rien. Oserait-il prendre le risque de pousser ces gémissements à son tour ? Il n’avait pas le choix. S’obligeant mentalement à reprendre le contrôle de ses membres, il ignora cette peur glaçante qui le rongeait de l’intérieur. Ce serait mentir que de dire que ses tremblements s’arrêtèrent, un homme n’arrête jamais de trembler face à l’inconnu. Mais il reprit au moins une certaine contenance et s’engagea à nouveau dans le noir, tâtonnant contre les murs à la recherche d’une quelconque sortie. Une sortie... Et s’il la trouvait avant cette autre personne hurlant à la mort ? Partirait-il en la laissant là, dans la peur et l’inconnu ? Ou bien se lancerait-il à sa recherche ? La réponse ne faisait aucun doute. Il partirait. Car peu importe qu’il finisse ses jours en tant qu’ordure lâche et misérable. Tant qu’il sauverait sa propre peau, il pouvait bien vivre sa vie dans la lâcheté la plus totale. Mieux valait mourir ensemble. Mais vivre ça, il pouvait parfaitement le faire tout seul, aussi répugnante que soit cette pensée.
Une faible lueur attira son attention, révélant la présence d’une porte entrouverte, d’où sortait ces incessants gémissements. Mais peut-être valait-il mieux ne rien savoir. Peut-être devrait-il continuer son chemin et ne jamais franchir cette porte. Il n’osait plus parler. L’avait-il seulement déjà fait ? Les murs l’oppressait, le dissuadant silencieusement d’ouvrir la bouche. Mais peut-être était-il déjà mort. Il ne pourrait plus parler. Ou bien était-ce une farce ? Une blague de très mauvais goût, voilà dans quoi il se trouvait. E commençait à se rappeler de quelques événements passés, parfois complètement insignifiant... Mais oui c’était sûrement un coup monté de son excentrique de mère. Une blague. Juste une blague. Pour son anniversaire peut-être ? La date était proche, ce n’était pas impossible. Tout le monde l’accueilleraient sûrement avec une tonne de confetti derrière cette porte, cachés derrière les canapés et prêt à blaguer dès qu’il la franchirait. Oui, une blague. Il trouva donc le courage d’avancer, car après tout, la plaisanterie avait assez durée. Son esprit se focalisa sur la petite fille recroquevillé tout au fond de la pièce. Il ne la connaissait pas celle-là, sûrement la petite sœur d’un de ses amis, frustrée d’avoir été mise de coté. Elle pleure. Elle hurle. Trop, beaucoup trop. Il ne se permit pas de voir la réalité en face : pas de confetti, pas de décors coloré. Pas de blague. Et la gamine gémissait à travers ses pleurs, sa peau pale contrastant à la lueur d’une unique bougie avec les murs sombres de la pièce. Ses longs cheveux blonds, sûrement pas entretenus depuis pas mal de temps lui tombait en cascade sur le visage, dissimulant ses yeux remplis de larmes. E ne lui aurait pas donné plus de cinq ans. Maigre et frêle, ce petit corps se contentait maintenant de hoqueter, délaissant les hurlements précédant qui l’avait attiré ici.
« Hé toi... Tout va bien ? »
Ces paroles résonnèrent dans la pièce. Horrifiées, tendues, inconnues. Et pourtant c’était bel et bien les siennes, modifiées par la peur et la désespoir. S’approchant prudemment, il s’agenouilla devant la gamine, écartant les mèches mouillées lui collant au visage. E fut lui-même surpris de la comparer à une morte, mais c’était effectivement ce à quoi elle ressemblait à cet instant. Une morte... une morte que seuls les incessants gémissements de peur parvenaient encore à maintenir en vie. Celle-ci balbutia quelques mots incohérents, se recroquevillant de plus en plus dans la pénombre avant de finalement prononcer quelques mots distincts.
« Il... est mort ? »
Ces mots furent bien vite suivi d’un long hurlement aiguë de la part de la fillette. E trébucha et se retrouva à terre après s’être pris les pieds dans un objet mou en voulant reculer brutalement sous le coup de la surprise. Poussant un juron, il s’empara de la bougie, l’unique source de lumière pour mieux inspecter la pièce et sur ce dont il avait buté. Tremblant de tous ses membres, sa respiration se fit de plus en plus pressé à mesure qu’il reprenait ses esprits. La pièce était vide, ou presque.
Dire qu’elle était semblable à sa cellule serait exagéré. Dans la sienne, il n’y avait pas de cadavre.
E ne cria pas. La gamine non plus, elle avait déjà tout donné. Il ne l’entendait plus, ne voulait plus rien entendre... ou peut-être était-ce parce qu’elle ne disait plus rien. Un lourd silence semblait à présent régner, parfois rompu par les légers gémissements d’horreur du garçon et rythmé par ses battements de coeur affolés. Un cadavre. Un cadavre. Un cadavre. Il était tombé sur un cadavre. Suppliant peu importe qui de le sortir de ce bordel, E peinait à retrouver son souffle, le regard fixant machinalement le corps du garçon. Car oui s’en était un, et après s’être quelque peu approché pour examiner son visage, il se précipita à l’autre bout de la pièce pour disons... rendre bruyamment son déjeuner. Un courant d’air vint l’effleurer, le glaçant jusqu’au cou. Complètement paralysé, E fermait les yeux, priant de tout son être pour que ce cauchemar finisse. Le corps de la victime ravagé de coup et de blessures n’avait pas laissé le jeune garçon indifférent et celui-ci refusait de tourner la tête, préférant porter plus d’attention au mur devant lui plutôt qu’au visage charcuté et ensanglanté à quelques pas de lui. Il n’avait aucune envie de savoir la cause de sa mort. Égorgé ? Éventré ? Sûrement pire encore... Une odeur infecte commençait déjà à envahir la pièce et rendrait l’air indésirable dans quelques temps. Il fallait qu’il bouge de là, et vite. Connaître l’auteur de ce crime ne l’intéressait pas, tant qu’il n’y passait pas lui non plus. Mais pourrait-il bouger ? Arriverait-il à briser l’étau de glace le paralysant jusqu’aux os ? C’était ça ou mourir à petit feu aux cotés d’un cadavre.
Un petit rire, d’abord discret attira son attention. La fillette, il l’avait presque oublié. Presque. Car le rire de celle-ci, se répercutant bientôt dans toute la cellule lui glaça le sang. D’abord les hurlements, et ensuite des rires. Les mêmes intonations que plus tôt, le même rire enfantin qu’il avait entendu depuis sa cellule, puis dans les couloirs. Depuis quand cette gamine là avait-elle pour seule compagnie un cadavre ? Sûrement pas mal de temps vu la puanteur qui régnait déjà sur les lieux. Pas étonnant que celle-ci perde quelque peu la raison. Ce n’était pas donné à tout le monde de se retrouver enfermer avec un corps. Ses mains poisseuses de sang tendu vers E, elle fut bientôt prise d’un fou rire, sous le regard ahurit du garçon, refusant de se retourner à nouveau vers le corps sans vie.
« Alors il est mort hein ? C’est marrant non ? » Nouvel éclat de rire. « Et toi aussi tu vas y passer, on va tous y passer. Quand tu l’auras vu, tu arrêteras de t’enfuir toi aussi ! »
Ces quelques phrases, prononcées avec la gravité propre aux gamins vous révélant que tôt ou tard son père viendra la punir, et vous avec, furent suivis de nouveaux cris hystériques. Franchement E n’avait aucune envie de s’embarrasser d’une psychopathe de cinq ans, mais par pur égoïsme, il attrapa la main de celle-ci et l’entraîna à sa suite dans les couloirs. Tout sauf ici. Il fallait qu’ils partent n’importe où, mais loin de cet immense manoir ensanglanté. Et plutôt que d’avoir à chercher seul, il préférait nettement s‘embarrasser d’un fardeau. Tout sauf la solitude. Finalement à bout, E s’obligea à faire une halte, également soucieux de la gamine qui peinait à suivre son rythme. Il ne savait plus quoi faire... devait-il rebrousser chemin ? Ou bien continuer de tourner, et encore tourner dans ses sombres couloirs, au risque de complètement se perdre ? L’odeur pestilentielle semblait les avoir suivi, affluant de toute part, ou bien était-ce son imagination. En tout cas, il se refusa à ouvrir les portes semblables à celles de leurs cellules, ignorant les marques ensanglanté et la peau grise du cadavre qui lui revenaient sans cesse à l’esprit. Il n’osait imaginer ce qu’il y avait également derrière ces autres portes closes, mais vu l’odeur et l’absence de bruit, cela ne faisait aucun doute.
« Dit... c’est quoi ton nom ? »
Une simple question, brisant le silence oppressant menaçant de les engloutir.
« J’ai oublié. Et le tien ? »
Peut-être n’était-il pas le seul à ne plus avoir aucun souvenir. E ne savait pas vraiment quelle réponse il aurait souhaité. Qu’elle connaisse ou non son nom...
« Ely... »
Un nom. Elle le connaissait. Son cœur se serra de jalousie. Un seul mot repassait en boucle dans son esprit. Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ?...
« Pourquoi ? »
La gamine pencha la tête, ne voyant pas où il voulait en venir.
« ... Comment es-tu arrivée ici ? »
Fière de connaître la réponse, elle se redressa, heureuse de pouvoir servir à quelque chose.
« Maman ne voulait pas que je joue près du manoir. J’ai désobéis... » Elle tenta vainement de retenir ses larmes, ruisselant bientôt sur son visage maigre et pale.
« Et j’ai vu le Monsieur. Celui avec les grosses bottes qui qui font grincer le plancher ! Et puis j’ai oublié... Il m’a fait entrer je crois. J’avais soif aussi. »
E déglutit, se demandant si, lui aussi avait traîner aux alentours de ce manoir jusqu’à s’y faire agresser. Avait-il lui aussi désobéis à sa mère ? Non... Quelques brides de souvenirs lui revinrent. Lui, ouvrant l’immense porte cloutée du manoir, curieux de l’explorer. Peut-être pouvait-il en faire une bonne cachette ? C’était ce qui lui avait traversé l’esprit, alors même qu’il ignorait les sombres secrets de la bâtisse. Son mal de cran repris soudainement, l’assaillant de bourdonnement strident. Une ruche dans la tête, voilà ce qu’il ressentit à ce moment précis.
« Hé ? Ça va pas ? On peut aller retrouver le Monsieur pour qu’il me ramène à la maison maintenant ? »
Non. Non. Non. Il ne fallait pas retrouver le Monsieur comme elle disait si bien. Il ne fallait surtout pas qu’il les trouve. Mais comment expliquer cela à une fillette s’esclaffant devant un cadavre ? C’était d’ailleurs sûrement Ely qui avait ouvert sa cellule... le rire cristallin, presque irréel qu’il avait entendu, à plusieurs reprises le prouvait. Il ne lui demanda pas pourquoi celle-ci était retourné se cacher a coté d’un cadavre, ni même si elle avait assisté à sa mort. Et il doutait franchement qu’elle puisse répondre sérieusement. Contemplant ses mains ensanglantées, un nouvel éclat de rire lui échappa, bref et saccadé, avant qu’elle garde finalement le silence, relevant ses immenses yeux. Blancs. Ou presque. Des yeux tellement claires que E doutait que ceux-ci soient réellement colorés. Ce nouvel aspect étrange de la fillette ne fit qu’accroître sa peur. Ely n’avait pas l’air normal. Pas du tout. Dans le couloir faiblement éclairé, il pouvait maintenant la regarder sans plisser les yeux. Troublé, il se surprit à penser un unique mot. Fantôme. Mais il ne croyait plus à ses contes depuis bien longtemps. Néanmoins, la scène ne pouvait lui faire penser autrement. Une robe blanche, presque trop grande pour elle, lui tombant sur les épaules et dévoilant ses maigres épaules dénudées... Fantôme. De longs cheveux clairs masquant une grande partie de son visage... Fantôme. Une peau si translucide qu’il pourrait croire pouvoir passer à travers... Fantôme. Et ses yeux. Le fixant sans aucune émotion, tandis que sa bouche pourtant, essayait de se tordre en un sourire sinistre. Fantôme... Mais il ne pouvait en être ainsi. Et la main d’Ely, serré dans la sienne encore tremblante ne faisait que lui rappeler la réalité des choses. Cette gamine était juste tarée. Et il allait devoir sortir d’ici, avec ou sans elle.
« Et... Ce ''Monsieur'' il est où ? »
Espérait-il réellement une réponse de sa part ? Au mieux Ely aurait sûrement éclaté de rire une nouvelle fois. Elle n’en eu pas le temps. Des bruits de pas se firent entendre. Le plancher grinçait, grinçait, et grinçait encore. Des grincements faibles et pourtant si présents, tels les plaintes incompréhensibles des lattes en bois. Le plancher semblait craquer, hurler à la mort sous le point de ces pas. En d’autre circonstance ces bruits auraient pu paraître presque mélodieux dans ce silence macabre. Doux grincements à l’autre bout du couloir. Mais les paroles de la fillette lui revinrent en mémoire. Le '' Monsieur avec les grosses bottes qui qui font grincer le plancher ''. Peut-être Ely était-elle arrivé à la même conclusion que lui, en tout cas celle-ci échappa à son emprise et courut rejoindre la source du bruit, un immense sourire aux lèvres. E cria son nom. Une fois. Deux fois. Trois fois. Ses petits pieds martelaient le sol, se joignant à ceux, lourd et grinçant de l’homme. Le couloir était trop sombre, trop grand surtout. Fermant les yeux, E ne suivit pas la gamine. Il écouta seulement son rire cristallin résonner à ses oreilles, pour faiblir de plus en plus à mesure qu’elle s’éloignait. Il ne re-cria pas son nom. Il attendit une minute tout au plus, ce qui lui parut pourtant durer une éternité avant d’entendre les pas s’arrêter. Puis un cri. Encore un cri. Et ils s’enchaînèrent. Aucun doute que l’auteur de ces plaintes n’était autre qu'Ely. Il n’aurait pour rien au monde oublié cette petite voix aiguë, la seule dont il se souvenait. E perçu pourtant, à travers ces gémissements plaintifs, semblable à une pauvre bête que l’on tentait d’abattre, les paroles de l’homme -puisqu’il ne faisait plus aucun doute que s’en été un- saccadées et incompréhensibles. Ils étaient maintenant beaucoup trop loin pour qu’il l’entende. Trop loin. A l’autre bout de l’immense couloir. E se releva, tremblant, n’osant pas imaginer ce qu’il ne pouvait pas voir. Ignorant un énième hurlement d'Ely, lui glaçant le sang, il se remit à courir. Pas pour lui venir en aide. Sûrement pas. La lâcheté et la peur allaient parfaitement bien ensemble. Dans le noir, E ne put que chercher une issue, une porte à tâtons. Désespérément. Sa main vint pourtant buter contre quelque chose, autre que les centaines de toiles d’araignées jonchant les coins. Un escalier. Peut-être était-il enfin libre ? Les marches semblaient le mener vers le haut, et sans attendre, il suivit cette direction. Il devait certainement se trouver dans une cave ou un sous-sol vu la pénombre, la seule issue était de toute façon déjà clairement indiquée. Manquant de trébucher à plusieurs reprises sous le coup des multiples tremblements dont son corps était victime, E finit néanmoins par se retrouver à l’étage du dessus. Beaucoup moins sombre que le premier, ce nouveau couloir était en effet faiblement éclairé par quelques lanternes accrochées aux murs à différents endroits. Mais le lieu n’en était pas moins accueillant que le sous-sol... Mais pas le temps d’inspecter les alentours. Les pas résonnaient toujours, maintenant en bas de l’escalier. Se rendant compte que courir une nouvelle fois ne lui serait d’aucune utilité sans repère, il s’engagea dans la première pièce non close qu’il trouva. Tout aussi sombre que sa propre cellule, il régnait néanmoins une odeur de nourriture. C’était déjà un progrès. Plus de cadavre défiguré. Après avoir quelques secondes exploré à tâtons, E finit par croire qu’il se trouvait bel et bien dans une sorte de garde-mangé, ce qui ne lui fit que rappeler sa propre faim. Il avait sûrement sauté un repas à force de moisir dans une cellule, mais pas plus. Il ne se jeta pas sur les bocaux de nourriture qui lui tombait entre les mains, préférant trouver une cachette, peu importe laquelle. Il trouva finalement abris derrière de vieux cartons poussiéreux au fond de la pièce, où il s’y cacha, tremblant de peur. Silence. Toujours et encore le silence. Puis le grincement de plancher. Encore et toujours ce grincement. Annonçant l’horreur à venir. Un rayon de lumière perça à travers la porte entrebâillée du garde mangé. Il était là. Juste devant. E regrettait maintenant de ne pas avoir fermé complètement cette porte... Dans quelques secondes il aurait sûrement l’homme dans son champ de vision. Mais il ne voulait pas voir. Tout plutôt que de connaître l’identité de son agresseur. Les bruits de pas suffisaient, il s’en contenterait. Malheureusement pour lui, il ne s’en contenta pas. Il ferma instantanément les yeux. Avec plusieurs secondes de retard. Les traits tirés, les cheveux mi-longs et grisonnants, la mâchoire crispée... Il avait pourtant l’air tout à fait normal, si ce n’est les cernes qui soulignaient ses yeux. Mais justement... Ses yeux... Sombres. Vides. Terrifiants. Morts. Entrouvrant les yeux une nouvelle fois, animé de la curiosité morbide qu’aurait la proie à connaître l’identité de son chasseur, E s’obligea à ne pas détourner le regard. Il ne l’avait pas vu, forcement, ou il ne se retournerait pas toutes les secondes pour inspecter le couloir d’en face, jurant entre ses dents. Et entre ses mains... Entre des mains... un petit corps ensanglanté. Ely. Clignant des yeux, comme s’il croyait chasser un mauvais rêve, E retint un petit cri et se plaqua machinalement une main devant la bouche. Son regard dériva instantanément vers le gros couteau détenu par l’homme, qu’il n’avait pas vu quelques secondes plus tôt. Ensanglanté lui aussi. Mais tout chez cet être semblait ensanglanté. De ses mains crispées sur le petit corps d’Ely, jusqu’à la chemise blanche imprégnée de rouge. Quelques gouttes perlaient sur le sol, laissant échapper le ‘’plic ploc’’ semblable à celui de sa cellule. Une pièce qu’il n’aurait sûrement jamais du quitter. Peu importe qu’il ai dépéri seul dans la froideur de sa cage. Mieux valait parfois ne pas savoir, et E aurait tout donné pour ne jamais avoir rencontré la fillette. Ne pas savoir. Il ne connaissait même pas son propre nom. Mais il en savait déjà trop. Tâtonnant à la recherche d’une quelconque arme, il tomba bien vite sur un objet coupant, qu’il fit tourner quelques secondes entre ses mains dans la pénombre avant d’en comprendre la nature. Un couteau de cuisine. Assez gros et tranchant pour qu’un semblant d’espoir réchauffe le coeur de E. Un espoir bien vite étouffé. Il ne faisait pas le poids. Le corps raide et froid d’Ely le lui confirmait. Mais il attendit. Une minute. Deux minutes. Jusqu’à n’entendre rien d’autre que sa propre respiration saccadée. Sortant fébrilement de sa cachette tel un lapin désireux de fuir le chasseur, E retenait son souffle, essayant vainement de ralentir ses battements de coeurs de peur qu’ils le fassent repérer par leur son lourd et affolé. Mais rien ne semblait plus bouger dans le sombre manoir et il finit par s’engager à son tour dans une partie du couloir légèrement éclairée. Durant sa course saccadé, E se retourna plusieurs fois, surpris par sa propre ombre s’étalent sur les murs et manquant de s’évanouir à chaque croisement. Mourir d’une crise cardiaque. Peut-être n’était-ce finalement pas une si mauvaise idée compte tenu de la situation... Il était bien conscient que ses chances de fuites étaient minimes mais espérait tout de même pouvoir s’en sortir. Vivant de préférence.
Malheureusement il n’eut pas cette chance. Il le revit. Là, dans l’ombre d’une porte, la posture droite, et le regard vide. Toujours vide. Sa bouche se tordit en un sourire menaçant. E aurait pu fuir fasse à cet homme recouvert du sang d’Ely, il se jeta néanmoins sur lui dans un acte désespéré, le couteau brandi en avant. Le reste fut confus. Beaucoup trop confus. Bien sûr le couteau ensanglanté de l’homme ne lui avait pas échappé. Mais animé par sa tentative désespérée il ne l’avait pas pris en compte. Ouvrant douloureusement les yeux, il essaya de se redresser mais ne réussis qu’à tendre son bras vers ce qu’il pensait être les jambes de son ‘’adversaire’’. Il ne prit conscience de la froideur du sol contre son corps étendu qu’après avoir levé les yeux pour ne rencontrer que le plafond. Une vive douleur lui arracha un cri rauque. Il n’avait pas besoin de tourner la tête pour savoir qu’un gros couteau lui entaillant la chair au niveau des cotes. Il ressentait la lame froide et tranchante jusque dans ses entrailles et ne put retenir un énième hoquet de douleur, relâchant par la même occasion une gerbe de sang. Sa tête lui tournait, sa respiration se fit plus précipitée... E chercha l’inconnu du regard, en vain. Mais il était là, à quelques pas de son corps étendu sur le sol et de la mare de sang qui commençait à se former. Peut-être ses yeux s’étaient-il finalement allumés et brillaient d’un éclat rouge de folie aux lueurs des lanternes... E perdait peu à peu connaissance, conscient d’avoir perdu beaucoup trop de sang et ne ressentant déjà presque plus ses membres. Il faisait froid. Était-ce du au sol glacé ? Ou bien à la mort se répandant peu à peu dans son corps ? La réponse ne faisait plus aucun doute. Il sentit une présence se rapprochant pour finalement le porter sur son dos. Mais E avait depuis longtemps fermé les yeux. Il essaya difficilement de reprendre conscience. Il lui semblait entendre un rire. Lointain et étouffé. Un rire que seule une gamine n’ayant plus toute sa tête aurait pu émettre. C’était sûrement son imagination, il commençait déjà à délirer et cherchait vainement une nouvelle bouffée d’air. Quel était son nom déjà ? Il essaya de se souvenir. Rapidement, avant qu’il ne sombre complètement. C’était déjà trop tard. E...
- Texte 3 , Pérona :
Un garçon se retrouve dans un manoir hanté pendant 3 heures un soir de pleine lune. Il faut décrire et expliquer les lieux, ainsi qu'expliquer ce qu'il va se passer pendant ces 3 heures, si il va faire des rencontres plus ou moins bonnes et surtout, si il arrivera à repartir chez lui ?
"J'attendais. Il fallait bien garder le stock. Juste 3 heures, qu'ils m'avaient dit. Juste 3 putains d'heures ! Mais c'est des malades. Attendre 3 foutues heures, où ?! Hein ? Dans un vieux manoir ! La nuit. Un soir de pleine lune. Pour bien me faire flipper, tu vois ! J'en avais vu des films comme ça, mais je pouvais jamais les finir. J'avais trop peur. Et chaque fois ça se passait dans un vieux manoir. J'étais là, assis sur un vieux fauteuil pourri et rongé par les années. Autour de moi, il y avait une vieille bibliothèque pleine de poussière. Les livres étaient encore à l'intérieur, attendant que quelqu'un les lise une dernière fois. Devant moi, il y avait une table sur laquelle j'avais posé des canettes de bière et des sandwichs. La pièce était froide et assez sombre. Quelques lumières encore en état de marche étaient allumées. Par terre, il y avait un tapis géant où on pouvait remarqué des traces de cendres. Les murs étaient fait en bois, sûrement en bois de chêne qui dure longtemps et sont résistant. Et juste à ma droite, il y avait le stock. Un stock secret que je devais gardé. Un stock de drogue, mais de la pure. Une qui vaut chère. Mais j'étais assis là, sur un fauteuil. Les rares fois où je bougeais, le parquet grinçais, en dessous. J'ai bien dis les "rares fois". Oui, j'ai peur. J'ai même très peur assis là, sur un vieux fauteuil à entendre 3 putains d'heures pour qu'ils viennent me chercher moi et le stock ! J'avais les boules ! Tu te vois toi, dans un vieux manoir envahit de lierres, infesté de rats et d'araignées, vieux de plus de cent cinquante ans et peut-être avec l'ancien propriétaire des lieux assassiné qui veut se venger ? Ah oui, parce que quand j'ai peur, je deviens parano. J'imagine tout le temps des trucs, tu sais. Je peux pas m'en empêcher. Et si sous cette vieille table, y avait un cadavre ? Un cadavre de zombie ? Qui se relèverait pour me bouffer les yeux ? Je peux pas m'en empêcher. Je suis comme ça. Si ça se trouve, je risque ma vie pour une foutue cargaison de drogue ! Je pense que vous avez deviné ce que je trafiquais, hein ? Je suis dealeur, ou plutôt apprenti dealeur. Le reste du groupe a caché la drogue dans un endroit où personne n'irait et ils se sont débrouillé pour chercher quelqu'un qui voudrait bien rester dans cet endroit pendant 3 heures jusqu'à ce qu'ils reviennent pour la reprendre et qu'ils la livrent. Et bien sûr, l'idiot qui reste pour garder la drogue, c'est moi. Faut dire qu'ils m'aiment pas trop. "Il faut que tu nous prouves que tu fais bien partie de notre groupe, petit", qu'il m'avaient répondu comme excuse ! Qu'est-ce que vous voulez que je leur dise ? Sérieusement ? J'aurai bien voulu leur répondre "Allez vous faire foutre ! Si vous la voulez, votre marchandise à deux balles, vous avez qu'à la garder vous même !" Mais qu'est-ce que j'ai répondu "Oui m'sieur, si c'est ce que vous me demandez" et en baissant les yeux, en plus ! Quelle honte. J'en revenais pas. Mais comment dire ça à un type balèze, assez musclé quand même, des yeux noir qui vous fixe et attendent que vous fassiez quelque chose, n'importe quoi qui pourrait vous faire renvoyer. Comme ça, il garde votre partie de fric pour lui et n'a pas besoin de la partager pour cette dois. Un de ces types qui a une certaine réputation, dans la ville où je vis. Alors pour lui répondre ça, devant tout un gang, c'est comme se jeter dans une mare pleine de crocodiles affamés ! Mais là, je m'en veux. J'aurai du refuser, dire que j'avais autre chose à faire que de rester dans une piaule toute pourrie et vieille de deux cent siècles. Là, je... me serai fait renvoyer et je serai retourné dans la rue... Voilà. J'étais obligé et il le savait. Si je faisais mal cette mission, il me renverrai. C'est sûr. Ca faisait même pas dix minutes que j'étais là et je flippais déjà ma race... Ridicule. Bon, allez, je suis courageux. Je suis courageux. Je suis courageux. Je suis courageux et je vais lever mon cul de ce fauteuil pour aller chercher quelque chose à manger. C'est bon, c'est pas la fin du monde. Pour au moins dix pauvres pas sur un plancher qui grince. Je vais pas mourir. J'étais vraiment désespéré pour me convaincre, comme ça. Je me suis levé. Le sol a grincé. J'ai bien cru qu'il allait cédé. Mon cœur a fait un de ses bonds, dans ma poitrine. Je suis resté, comme ça une minute ou deux sans bouger. Et s'il y avait quelqu'un ? De vivant ou de... mort ? Qui s'apprêtait à me sauter dessus s'il entendait du bruit ?! Faut que j'arrête avec ma parano ! J'ai dû faire quatre ou cinq pas à deux à l'heure pour m'assurer que tout allait bien, que le sol était stable et que... j'avais parlé trop vite. D'un coup, le plancher craqua. Il y eut un bruit de bois brisé, de chute et surtout de mon hurlement de fillette de cinq ans. La honte. J'ai dégringolé pendant deux bons mètres et je suis retombé sur un lit à ressort. Bien sûr, ils me sont rentrés dans le dos, ces putains de ressorts.
J'ai dû perdre connaissance pendant quelques secondes à cause de la poussière. Et puis j'ai ouverts les yeux. J'étais dans une petite chambre trois mètres de cotés sur quatre mètre de long. Il n'y avait qu'un lit poussiéreux qui me poignardait le dos avec ses ressorts ! Mais d'un autre coté, il était moelleux. C'était un de ces vieux lit à baldaquin rose bonbon qu'on les petites filles de gosses de riche. Si un jour je devais revenir ici, je prendrais ce lit et je l'offrirais à ma petite sœur. Je me suis levé. Quand même. Et j'ai levé la tête. J'ai d'abord vu l'énorme trou que j'avais laissé en tombant. Il y avait encore de la poussière qui dansait dans l'air. J'ai toussé et me suis mis les mains devant la bouche et le nez. Cette poussière me piquait les yeux, en plus. J'avais eu de la chance d'atterrir sur ce lit. Si j'étais tombé un mètre avant, je me serais cassé quelque chose ou je serais mort en me brisant le cou. Mais j'étais vivant. Je me suis inspecté de partout. Mes vêtements étaient un peu déchirés à cause de la chute, mais ça allait. Pas de quoi s'alarmer. Pas de sang. J'avais vu un film, un jour avec des vampires qui ne supportaient pas le soleil mais qui étaient attirés par l'odeur du sang. J'étais en train de m'imaginer, dans un manoir sombre en compagnie de vampires qui voulaient ma peau. Super réconfortant. Maintenant, comment je fais pour remonter ? Sérieusement. Comment ? Je peux pas rebondir sur le lit et sauter très haut pour atterrir là-haut. C'est impossible. J'ai regardé au alentour. Il y avait une porte. Je ne l'avais pas vu la première fois parce qu'elle était faite du même bois que les murs. Ma porte de sortie... mais qui avait-il derrière ? Un zombie, un vampire, un psychopathe à machette, un monstre ou bien un chien enragé ? J'avais le choix, on dirait. Allez, tu peux ouvrir cette porte, c'est pas compliqué. Tu peux ouvrir cette porte. J'essayais de me convaincre. J'ai avancé mon pied pour faire un pas. Puis j'ai avancé l'autre lentement. Je m'attendais presque à ce qu'un fantôme traverse la porte quand je serais devant. J'ai appuyé ma main sur la poignée et... BOUM ! Elle s'est ouverte. Toute seule. Sans que j'abaisse la poignée. Rien. J'ai fait un de ses bond en arrière ! Et c'est ce qui m'a sauvé la vie. Dans le mur de la chambre, il y avait un piège mortel. Des petites arbalètes dans le mur qui s'activaient quand le porte s'ouvrait. Mais pourtant, je n'avais pas ouvert cette fichue porte ! Quelqu'un avait essayé de me tuer ! J'ai reculé jusqu'au lit. La porte était ouverte. C'était peut-être quelqu'un qui essayait de me dire "Allez vas-y mec ! La porte est grande ouverte ! Qu'est-ce que t'attends ?" Ouai, pour mieux me faire tuer. Mais d'un autre coté, j'étais obligé de franchir cette porte. C'est ça qui m'énervait.
-Qui es-tu ?
Je me suis à moitié fait dessus quand, à la porte deux yeux d'un gris/vert fluorescent me regardaient. Les yeux ont clignés puis ont disparu. J'ai couru après. J'ai franchis cette porte. Et je ne suis plus jamais revenu en surface...
"-Cela fait maintenant un mois que le jeune adolescent, Chris Verguez a disparu. Les enquêteurs affirment avoir une piste mais pour l'instant, nous n'avons plus aucune nouvelle. Nous soupçonnons le gang du jeune homme. Selon le policier Carl Kovacs, chargé de l'enquête, Chris Verguez aurait peut-être fugué. La famille est bouleversée par sa disparition. Alors pour nous aider, si vous voyez ce jeune garçon, appelez la police mais ne faites rien. Il est blond aux yeux vert, comme sur cette photo. Mais l'officier Kovacs va nous recevoir tout de suite. Bonjour monsieur Kovacs. -Bonjour, Mademoiselle MacGinger. -Avez-vous trouvé une piste ? Ou des indices concernant l'enquête qui pourrait la faire avancer ? -Nous en avons en effet. Comme vous le savez, le jeune Chris Verguez faisait partie d'un gang. Un petit gang qui vend de la drogue. Des petits escrocs qui font la loi dans le quartier où habite le jeune homme. Chris a sans doute été enrôlé pour épargner à sa famille de mourir de faim. Ce que nous comprenons. Nous avons donc interrogé le chef du gang, Matthew Regan, qui nous a avoué qu'il existait bien un vieux manoir et que ce serait là-bas que se trouvait Chris. J'y suis allé seul pour inspecter les lieux mais il n'y avait rien de troublant. Pas de sang. Pas d'indices. Chris Verguez n'a jamais été là-bas. Et j'en suis certain. -Oh, alors où serait Chris ? -Mort ou kidnappé. Mais la première option semble la plus plausible. Vous savez, dans un gang, la vie est rude. Il n'est pas rare que quelqu'un soit tué. -Merci, monsieur Kovasc. C'était Kaly MacGinger, d'AmericanNew
La journaliste fit un grand sourire à la caméra. Un "Coupez !" la détendit. Elle observa plus attentivement l'officier Kovacs. Il lui semblait... étrange. Un pressentiment lui disait de se méfier de lui. Il avait d'étranges manières. Il était petit et mince. Mais vraiment mince. Et ses yeux avait une couleur verte claire presque grise. Tout en lui respirait la froideur. Et il lui faisait peur."
- Texte 4 , Akai :
L'instant d'un anniversaire présomptueux.
Il fait sombre à l'heure où vous me lisez, car je suis déclaré dans un coma des plus profond qu'il soit, suite à une fusillade dans mon supermarché. Je semble être dans un hôpital délabré, vous savez ce genre d'endroit traumatisant où la plupart d'entre nous naissent et meurent ? Cependant, je suis inerte mais bien conscient, et je peux par conséquent vous livrer mes pensées, mes souvenirs et mes sentiments... Le 17 novembre. J'entends cette date à la radio, que l'infirmière allume en espérant me tenir informer de toutes les merdes désespérantes de ce monde. Cette date a sonné comme un écho dans mon lit d'hôpital, oui c'est la date de mon anniversaire. Je ne pourrai pas le fêter. Cette nouvelle ne m'a pas rendu triste car je ne souhaite juste que me réveiller et rattraper le temps que je ne cesse de perdre, allongé et à me faire caresser par des mains expertes. Mais si jamais je ne me reveillais plus, j'aimerais au moins vous raconter ce même jour un an plus tôt, où j'ai eu la chance de pouvoir fêter mes seize ans.
Ce jour là, j'avais invité une dizaine de personnes pour fêter l'événement du soir. Ces personnes ont marqué ma vie de bien des manières. Je m'étais donc levé un peu plus tôt pour l'occasion, à midi a peu près. Je descendis les escaliers d'un air non chalant, puis je traversa la maison sous des allures de star, les membres de ma famille me souhaitèrent donc un bon anniversaire. Mais il y'avait déjà quelqu'un d'autre chez moi, installé confortablement sur le canapé avec des biscuits... Je l'ai fixé, il me regarda en souriant, je lui demanda alors " Qu'est-ce que tu fais là Alfred ? J'ai bien indiqué que c'est à partir de dix neuf heures..."; il continuait a me sourir niaisement et me répondit " Je viens pour t'aider à préparer ta fête d'anniversaire, j'ai posé ton cadeau sur la table, ça va te faire plaisir !" Je soupirais en le remerciant malgré l'aspect inquiétant du paquet qui prenait toute la longueur de la table... Alfred était quelqu'un de très spécial, on ne savait jamais ce qu'il pouvait penser mais c'était quelqu'un sur qui on pouvait compter... Donc après avoir déjeuné, nous sommes sortis acheter ce qu'il nous manquait au supermarché à quelques lieux d'ici. Je pris un caddie, pour rejoindre Alfred au rayon yaourts, je ne savais pas ce qu'il y faisait, c'était assez étrange, mais on a quand même prit quelques yaourts. Arrivés à la caisse, avec un caddie moyennement chargés de mets en tout genre, une main me saisit la fesse gauche, je me retourna alors, et j'aperçus deux amis censés venir ce soir et qui ont pris l'initiative d'acheter quelques petites choses pour ma fête, puisqu'il n'y'avait là que des produits de sous marque... Je vous épargne le dialogue et les politesses, nous sommes donc rentré à quatre chez moi pour installer l'événement. Etant donné qu'on était encore qu'entre garçons, lorsque le tout était a peu près prêt, on en a profité pour se regarder quelques vidéos pornographiques sur le net, jusqu'à ce que l'on soit interrompu par notre première invitée qui n'avait pas très envie de rester... Donc j'ai éteignis l'ordinateur et mis de la musique "moderne". Les suivants débarquèrent dans l'heure qui suivit. Oui c'était la première fête que j'organisais de ma vie j'étais heureux, plus heureux qu'un gamin avec ses premiers playmobiles, qu'un collégien pour sa première masturbation, ou une fille pour sa première sodomie. On dansait, on chantait c'était géniale, je sentais toute la transpiration de mes êtres chères, ça me comblais de bonheur, en y ajoutant les différentes saveurs d'alcool qu'Alfred avait concocter et donc la sensation d'ivresse inouie, c'était une réussite. Un peu plus tard, j'en avais marre et je décida d'ouvrir mes cadeaux et laisser le gâteau les bougies pour le crépuscule. Donc j'ouvris le premier cadeau, c'était celui...D'Annabelle que j'ai déballé en premier, et c'était une flûte... Une putain de flûte, je pleurais je ne savais pas si c'était des larmes de déception ou de colère, donc j'ai foutu Annabelle dehors en l'insultant. Je me suis finalement rappelé qu'elle était assise à coté de moi en cours de Musique, et que c'était peut etre pour ça qu'elle m'avait offerte cette flûte, elle jouait incroyablement mal mais on était quand même devenu amis car elle était vraiment très bête ! J'imaginais bien ce qu'elle faisait avec cette flûte plutot grande... Bref je m'égare, Je passa donc au cadeau suivant, c'etait une montre collector d'un vieux dessin animé d'espionnage, elle faisait le bruit du dessin animé, je me tourna vers Claude, et je le pris dans mes bras. Claude ça c'était un ami, autrefois on s'appelait tous les matins pour parler de l'épisode diffusé, ce cadeau avait donc une certaine valeur. J'ouvris une ensuite le paquet suivant, c'etait un sac à dos koala. Je vis le sourire illuminé de Sophie qui avait vraiment l'air fière d'elle, et elle avait raison car c'était un bon cadeau. Que dire de Sophie... A part qu'elle s'occupe du zoo de la ville avec sa famille et qu'elle passe son temps libre à nourrir des singes. Je l'avais rencontré par hasard lorsque je m'étais perdu au zoo, elle m'a guidé et fait la visite toute la journée en s'occupant de ses pensionnaires, on a donc largement pu faire connaissance et sympathisé. Je saisis le cadeau suivant, le déballa et découvris une paire de menottes avec fourrure... Bon ça me sera sûrement utile pour un tas de choses j'imagine. Je me tourna vers le seul couple de filles de la fête qui m'adressèrent un clin d'oeil. Ces deux filles étaient jumelles et étaient dans ma classe au collège. Elles étaient toujours ensemble, partout, à n'importe quelle heure, j'ai toujours pensé que c'était semblable aux meilleures amies du monde, mais c'était une relation bien plus approfondie que ça. Je respira courageusement et continua mon effort, j'ouvris celui des deux amis pervers du supermarché, ils m'ont offert un coffret de films érotiques, et la boite de mouchoir qui va avec, bon rien de très surprenant mais ça m'a fait plaisir, ils ont toujours pensé à mon bien être. J'ouvris l'avant dernier paquet de la soirée c'était une boule de cristal de Noel, celle que j'avais vu dans la chambre de Camille,ça m'avait tellement ému ce jour là ! Bref, j'en ai donc facilement déduis que c'était de sa part. Camille, la première fois que je l'ai vu j'ai pleuré, j'étais en train de me laver les mains aux toilettes, j'ai levé la tête et je l'ai aperçu dans le miroir se promenant innocement dans les toilettes des garçons, ce fût le coup de foudre. Elle s'était trompé de toilettes mais pour moi c'était le destin qui l'a amené à faire une erreur pareille... J'ouvris le dernier cadeau, et c'était celui d'Alfred... Alors la dimension semblait improbable, et vu le poids on l'a forcément aidé à poser ce truc sur la table... Je déballa l'emballage pendant cinq bonnes minutes en découvrant avec effroi que c'était une baignoire rose. Il y'eu un silence l'espace de trente secondes, avant que je ne dise " ...Merci ! ", et que tout le monde ne repartent se remplir le foie avec quelques verres. La soirée battait son plein, j'avais la tête qui tournait, j'avais déjà vomis mes lasagnes deux fois, et je cherchais encore les toilettes dans ma propre maison ! J'ouvris la chambre de ma petite soeur en y découvrant les soeurs jumelles nues en pleine orgasme. Visiblement je n'avais pas l'air de les déranger. c'était vraiment touchant, l'amour familiale devrait toujours être aussi intense, je suis donc rester à les contempler quelques minutes le sourire aux lèvres avant de retourner à la conquête de mes toilettes. Je croisa Claude avec un paquet de céréales sur la tête, il hurlait être Super Kellog's avec Sophie qui acquiesçait ses propos, je les ignora et poursuivis mon long périple, je finis par tomber sur Camille, qui semblait étonnement sobre. Nous sommes allés, dans le jardin en direction des balançoires, elle me demanda si son cadeau n'était pas trop ridicule, je lui répondis que c'était ridicule mais que j'avais déjà penser à voler celle de sa chambre, elle rigola sans se rendre compte de l'ampleur et la sérieusité de mes propos. Le vent soufflait, nous étions assis sur les balançoires à discuter de l'année qu'on avait passé ensemble, elle n'avait pas pris de veste et etait sorti en tenue légère malgré la fraicheur, même dans état lamentable j'étais obligé de lui prêté le mien, un geste que je regretta en sentant la brise d'automne du soir... Soudain, elle stoppa sa balançoire , se mit devant la mienne pour me stopper et me regarder avec le bleu de ses yeux. J'étais acculé et confus, mais heureux comme un cochon. Elle m'avoua... Avoir gagné au Loto, un jeu de fortune basé sur le hasard le plus improbable qui existe en ce bas monde. Donc je me suis forcé de rire à gorge déployée, avant qu'elle ne me sorte une preuve irréfutable de ce qu'elle avance, un chèque de plusieurs millions d'euros, je n'arrivais plus à lire la somme exacte mais je me suis tûs. Là, je m'étais dis "Bordel, elle aurait pu m'offrir autre chose qu'une boule de Noel..." mais elle s'est plutôt bien rattrapé en me proposant une escale en Amérique, en Afrique puis en Asie... Déboussolé, je lui demanda pourquoi elle m'a choisit pour ce genre de projet... Elle m'a alors répondu que j'étais la personne la plus importante à ses yeux aujourd'hui. Bon finalement, je m'étais dis qu'elle n'était peut etre pas si sobre, j'ai donc répondu positivement, mais au fond de moi j'avais l'espoir de voir ça comme une semi confession et j'étais touché. Elle me serra dans ses bras pendant un long instant, c'était très agréable, j'aurai aimé que ce moment perdure encore et encore... Mais n'ayant pas retrouvé le chemin de mes toilettes, j'ai éjecté les derniers restes de lasagnes qui me restaient dans l'estomac sur mon sublime blouson. Après avoir présenté mes excuses et essuyé mon blouson du mieux possible, nous sommes rentrés main dans la main dans ce qui n'était plus ma maison, mais la leur... La baignoire rose était en pleine inauguration, Super Kellog's en couche culotte et portant mon sac koala sur le dos avec deux ses "acolytes" l'imitant, ils faisaient des bulles et la moitié du salon était rempli de mousse, avec en fond sonore le célèbre " Ca mousse " de Superbus... Bon, j'ai décidé de laisser les choses se faire et de m'amuser, car ça n'arrivera qu'une fois et que c'était trop tard... Camille était d'accord avec moi et sauta dans la mousse, je ne l'ai plus revu depuis. Vers cinq heures du matin, avec Sophie qui était entré en conversation avec elle-même, j'ai essayé de rassembler mes précieux invités, pour souffler mes bougies et déguster le gâteau. on leva donc la table d'une force surhumaine pour virer la baignoire, et poser le tout.Nous avons clôturé l'événement avec la photo du gâteau parmi les nombreuses autres photos étranges qu'Alfred avait prise... Une fois, nous avions retrouvé Camille avec un sourire des plus niais, Alfred avec son appareil photo et la plupart des personnes encore vivantes qu'on a pu réveillé. Rassemblés autour de la table, je décidais de faire un discours sur ce que chacun d'eux m'a apporté dans la vie jusqu'à maintenant.
J'entends une voix crier et de l'agitation autour de mon lit, je crus percevoir dans ce brouhaha stressant, les voix des mes parents, de ma petite soeur, de la petite Camille... J'étais en train de pleurer et mon rythme cardiaque baissait dangereusement. J'aurais vraiment aimer faire une autre fête avant de partir et faire ce voyage avec Camille, la vie est amusante mais parfois bien cruelle. Nous vivons tous entre un instant et l'éternité, et si j'ai un conseil à vous donner avant de partir, profitez-en pour avouer le fond de vos pensées à ces êtres qui constituent chacun de ces instants.
Dernière édition par Natsu le Mer 27 Nov - 13:13, édité 2 fois |
| | | Red
Sexe : Messages : 7935 Date d'inscription : 30/05/2012 Âge : 25 Localisation : Mitakihara Emploi/loisirs : Prêt pour plonger Humeur : Néant
| Mer 27 Nov - 11:26 |
| - Texte 5 , Petite Lisanna :
Un jour une jeune fille qui s'appelait Marie qui avait 14 ans. Elle était dans une forêt au beau milieu de nulle part la nuit un soir de pleine lune. Elle marchait pour y partir quand soudain il commençait à pleuvoir une grande tempête éclatait, Marie commençait à courir pour pouvoir trouver un abri puis elle aperçue un incroyable château, grand avec toutes les lumières allumer et a la fenêtre au dernière étage elle aperçue une personne qui avait une grande cape rouge et une peau toute blanche dès qu'il vu que Marie l'avait apperçu il disparut aussi tôt. Alors Marie arriva l'entrée à de ce grand château la porte était gigantesque. Elle prit le poignet pour ouvrir et la poignet ce cassa et la porte s'ouvrit toute seule. Elle entra et soudain toutes les lumières du couloir s'éteignent d'un seul coup. Elle entendit des bruits bizarres au dessus d'elle, elle s'avança dans le loin couloir sombre et apperçue une porte. Elle l'ouvrit et il y avait une grande salle avec un énorme lustre au plafond en dessous il y avait une grande table avec de la nourriture dessus et six chaises, dans la pièce il y avait tableau, un avec une sorte de petite fille avec la moitié du visage déchirée habillée d'une robe blanche taché de sang et l'autre avec un grand homme avec une grosse hache. Soudain de l'autre côté de la pièce elle entendit des bruits de pas se dirigeait vers elle, c'était l'homme avec la grande cape rouge qu'elle avait vu a la fenêtre !! L'homme invita Marie a s'asseoir avec lui sur une des chaises .Puis l'homme lui dit : « Bonsoir jeune demoiselle bienvenu dans mon château HANTEE. Vous êtes ma prisonnière et pour réussir a y en sortir il faut que vous trouviez deux petites clés cachés dans ce manoir. Vous avez trois heures et pas une seconde de plus sinon vous mourrait tuée. »
Et l'homme disparu.
Marie affolée regarda autour d'elle pour essaya de trouver une porte mais rien les deux portes avaient disparu. Soudain le lustre tomba et se brisa sur la grande table. Et le tableau ou il y avait la petite fille avec le visage déchirer bougea la main de la petite fille sortie du tableau et elle sortie. Elle se dirigea vers Marie. Marie avait très peur elle hurla « NOOOOOOOOOOON S'IL VOUS PLAIT NE ME TUER PAS »
Puis la petite fille s'arrêta. Elle regarda Marie et lui fit signe de la main de s'avançait vers elle. Marie hésita un petit moment mais au final elle avança et se retrouva face à face avec la fillette. Alors Marie demanda a la fillette si elle s'avait comment sortir de cette pièce pour retrouvé ses deux fameuses clés. La fillette s'avança vers une planche collée au mur (que Marie n'avait pas vu au début) et l'arracha, derrière cette planche il y avait un petit couloir très fin tout sombre. Et la petite fille dit à Marie « Avancé dans ce couloir il vous mènera a l'endroit ou se trouve la première clé » Alors Marie entra dans ce petit couloir, ça lui inspirer pas confiance mais bon, après un certain temps elle arriva au bout de ce couloir et elle arriva dans une gigantesque salle de bain. Dans la salle de bain il y avait deux baignoires et un loup en paillé et de l'autre coté il y avait une porte, une baignoire ou il y avait un homme qui semblait être mort, plutôt qui était mort et la deuxième était remplie de sang et de petits doigts qui flottaient. Sur cette baignoire il y avait écrit « Trouve moi je suis dedans ». Alors Marie s'approcha de la baignoire remplie de sang et plongea sa main dedans quand soudain tous les petits doigts qui flottaient dans le sang se transforma en petites bouches avec de grandes dents. A pleuré elle essaya d'enlevé sa main mais impossible. Alors elle bougea sa main dans le sang et elle sentie une clé elle la prit et essaya de se dégagée mais tous d'un coup une des bouche lui arracha le petit doigt. Elle hurla et avec sa deuxième main elle tira sur le robinet de la baignoire est tous le sang disparue ainsi que les bouches. Marie avait trouvé la première clé, elle était contente mais elle souffrait car une des bouches lui avait arraché sa main !!
Elle se leva et ce dirigea vers la porte quand soudain le loup en paillée de mit a parlé mais il ne bougea pas. Il lui dit « attention Marie il te reste moins de 2h avant que le temps s'écoule ».
Marie se disait il vaut que je me dépêche de trouvé la deuxième clé vite !!! Alors Marie ouvrit la porte et de l'autre côté il y avait un homme qui ressemblait a un zombie, assis sur une chaise, il avait ses habits arrachés un bras lui manqué et il avait les yeux blancs, heureusement il était endormie. Puis Marie remarqua qu'autour du cou du zombie il y avait la dernière clé. Mais comment faire pour pouvoir prendre la clé sens réveillé ce zombie. Elle s'avança discrètement vers le zombie. Elle tendit sa main pour essayer de prendre la clé quand soudain le zombie ce mis a bougeait il ouvrit les yeux vus Marie devant lui, Marie prit peur est lui arracha la clé de son cou et fit demi tour en hurlant, le zombie la coursé. Elle était revenue à la salle de bain elle s'aperçue que l'homme qu'elle croyait mord était plus là et que le loup en paillée aussi. Elle traversa la salle de bain pour retournée dans la pièce ou il y avait la grande table et ou elle avait rencontré l'homme avec la cape. Elle rentra dans la pièce et voit l'homme avec la cape rouge sur la table, la fillette était retournée dans son tableau mais l'homme a la hache du deuxième tableau y était pas. L'homme avait la cape rouge lui dit « Je vois que tu as trouvé les deux clés, très bien mais je pense que tu devrais te dépêché il te reste que 3 minutes malheureusement ». Marie courra vers le couloir ou il y avait la grande porte d'entré, elle devait ce dépêché il lui resté que 1 minute. Elle arriva a la porte puis soudain elle entendit le loup, l'homme avec la hache et le zombie arrivée. Il y resta quelque secondes elle sortie les deux clés mais hélas le temps était écoulé. Elle pleurée il était trop tard elle ne pouvait plus rien faire. Le loup couru vers elle et lui arracha les deux jambes et l'homme avec la hache lui là lança et ça lui avait coupé la tête. Le zombie lui mordit le cou. Marie n'a pas réussi, elle a été assassinée dans cet horrible château hanté.
- Texte 6 , Madoka :
~ Le coeur a ses raisons, que la raison ignore... ♥ Cela faisait plusieurs heures que le soleil s’était couché. La forêt était sombre et une brise d’air frais parcourait les arbres. Le silence régnait, on n’entendait plus que le feuillage et les quelques animaux qui traversaient cette petite forêt. Ce silence dura jusqu'à ce qu’une fille fit son apparition. Une jeune fille seule au beau milieu de la forêt, dans cette nuit sombre… Personne ne pourrait en connaitre la raison. Peut être était-elle perdue ? Ou peut être cherché t-elle quelque chose en particulier ? Nul personne ne pouvait répondre à ces questions. C’était une jeune demoiselle aux alentours des 16 ans, ses cheveux de couleurs argentés se faisaient bercer par une brise d’air frais tandis que ses yeux roses bonbons toisaient du regard les alentours. Elle était vêtit d’un jean bleu foncé et d’un pull originale noir. Après avoir repris son souffle, la jeune lycéenne se remit à courir mais cette fois-ci vers le nord. Elle était agile et très rapide. Elle continua sa course, jusqu'à ce qu’elle fut en face d’un château. Il paraissait ancien. Un peu hésitante celle-ci entra dans ce château. Elle regardait devant elle, puis derrière elle. En la voyant comme ca, on pourrait dire qu’elle craignait quelque chose ou plutôt quelqu’un. En entrant dans cet endroit, la jeune fille pensait être en sécurité. Et si c’était pire ? Cette question ne lui trotta nullement la tête. « Tant que je serai entre quatre murs, je serai en sécurité, pensa t-elle ». Après avoir monté une grande pente, celle-ci se retrouva face à face avec une gigantesque porte en bois. Elle s’empara du poignet et poussa une des deux portes. Un courant d’air la fit basculer en arrière mais heureusement que celle-ci tenait le poignet fermement. Celle-ci poussa un grand soupir, soulagée. Elle fit ses premiers pas dans l’enceinte du château en regardant les lieux. C’était un long couloir, sur les côtés il y avait plusieurs armures en bronze qui paraissaient assez solide, du moins à l’œil nu. Tout était poussiéreux, ce qui montra bien que plus personne n’habitait ici. Dans les angles des murs, il y avait plusieurs toiles d’araignées ce qui fit faire une grimace à notre demoiselle. Elle cherchait un endroit pour s’asseoir mais il n’y avait que des chaises poussiéreuses. Cela ne faisait qu’un quart d’heure qu’elle était dans cet endroit et elle était déjà exaspérée. Elle soupira, avant de commencer à faire un monologue, qui n’attendit pas longtemps pour être in discours. - Moi, Madoka. Je vais m’asseoir sur une de ses chaises poussiéreuses ? Manqué plus que ça.
Elle se mordilla la lèvre inférieure signe d’agacement. Plusieurs choses lui trottaient la tête, comment allait-elle retrouver ses proches, qu’elle avait perdu durant une balade. La raison de son étrange promenade au beau milieu de la nuit était qu’elle cherchait sa famille. Tout sa, commencait sérieusement à l’énerver. Elle s’assit donc sur une des ses chaises, avant de crier pour relâcher son énervement. Elle ferma les yeux lorsqu’elle sentit une main sur son épaule. Elle ne broncha pas d’un poil, lorsqu’elle prit conscience de la situation. Elle éparpilla ses yeux et hésitante se tourna vers l’inconnu qu’il lui tapotait l’épaule. La surprise, un sentiment qui prenait une légère place dans son cœur. La jeune fille qui se nommée Madoka, mis sa main sur son cœur sentant que celui-ci ratait des battements. Elle était effrayée par cette situation, mais ce qui l’effrayai davantage c’était cet inconnu qui n’était pas ordinaire. Ce n’était qu’une vulgaire armure, une armure en bronze qui bougeait. A cette information Madoka se mit à crier. C’était maintenant que son cerveau stockai les informations, elle tourna sa tête avant de se mettre à courir. C’est à ce moment précis, que des voix se mettaient à hurler. Des voix qui provenaient du plafond, des murs, du sous-sol. Notre petite héroïne, choisit elle aussi ce moment pour mettre ses mains sur sa tête et entrer dans une salle qui était illuminé. Elle referma la porte, et se mit dos contre celle-ci. Sa respiration était saccadée et des petits cris s’échappèrent de sa fine bouche. - Non ce ne sont que des hallucinations dû à la disparition de mes parents, pensa Madoka. - Des Hallucinations dis-tu ?
Madoka s’attendait à tout en se tournant sa tête vers son interlocuteur. Elle s’attendait même à voir un vampire, voir pire. Mais à sa grande surprise, s’était un simple humain. Oui un humain qui devait avoir vers les alentours des 18/19 ans et qui tenant une lame tranchante dans sa main. Il avait une longue cape noir, qui le cachait complètement, enfin mis à part sa tête et son bras droit. Il avait des cheveux couleur ébèn, des yeux violets perçants et un sourire en coin. Un sourire qui ne rassurait aucunement Madoka. Elle le toisa du regarda, ne pensant nullement à répondre à sa question. Elle se contenta pour l’instant de prendre, la première chose qu’elle trouva sous la main, un bout de bois. Mado-chan grimaça, elle était consciente que sa ne serai pas un bout de fer qu’il allait la sortir de ce pétrin… Ni même blesser l’ennemi qui oserai la sous-estimer où l’attaquer. Mais à sa grande surprise, ce jeune homme disparut dans une brume poussiéreuse. - J’espère que tu auras le courage de supporter les mystères de ce château et d’être à la hauteur, lui lança le jeune homme avant de disparaitre hors de la vue de la jeune fille. Ses paroles ne la rassuraient le moins du monde. Elle comprit enfin que ce château n’était pas normal. Une armure qui bouge sans personne dedans, des cris provenant des murs, un homme qui apparait de je-ne-sais-où et qui disparait comme ça. Une personne normale airait pris peur, mais notre héroïne esquissa un petit sourire en coin. Signe qu’elle releva le défi, de toute façon elle n’avait pas le choix. Elle se mit à la recherche d’une arme solide. Après plusieurs minutes, elle trouva une épée entre le mur et le placard. « Intelligente, la personne qui a voulu cacher cette épée, souria t-elle ». Elle s’attacha les cheveux grâce à un bout de tissu, qu’elle avait déchirer du drap et se dirigea vers la porte. Elle releva sa main, pour jeter un coup d’œil sur ma montre. Argh… Cela fera bientôt une heure qu’elle était dans ce château pourtant elle aurait cru que ce n’était qu’un quart d’heure voir une demi-heure. Elle secoua sa tête, après qu’elle sera sortit de ce château « maléfique », elle aura tout le temps pour regarder sa montre. Elle sortit de la chambre, décider à sortir de cet endroit. Bien sur, il fallait qu’elle soit à la hauteur. Elle décida d’être discrète et sournoise, ainsi elle pourra sortir de cet endroit. Mauvaise idée, cela était impossible. Toutes les issues, étaient fermées et devant chaque issue une étrange créature assurez la garde. Elle ne rata pas cette occasion pour soupirer encore une fois. - Manqué plus que ça, soupira t-elle en chuchotant. Elle n’avait pas le choix, pour sortir d’ici fallait qu’elle se la joue ninjas. Drôle de situation quand même, elle qui trouvait les ninjas non utiles. Après avoir compté tout le nombre de créatures, elle se dirigea vers la porte arrière du château où il y avait un monstre énorme. Mais si elle voulait sortir d’ici en étant un minimum fallait qu’elle choisisse l’issu la plus reculée du château. Elle analysa la situation, Madoka se concentra sur la situation en étant sûr que le monstre ne l’avait pas encore détecté. Elle restait figée là, attendant un faux pas de son adversaire. Celui-ci choisit le mauvais moment pour bayer et ainsi baisser sa garde. Sans perdre un instant, la jeune fille aux cheveux argentés se lança sur sa proie. Elle courait tellement vite que la bête, n’arrivait pas à la suivre des yeux. D’un coup, elle sauta pour trancha la tête de la bête. Mais celui-ci, esquiva sans aucun soucis. C’est là, qu’elle se rendit compte qu’elle avait fait une grosse erreur en le sous-estimant mais surtout en le choisissant pour adversaire. Bien que Madoka, soit une fille elle n’allait pas lâchement abandonner ou même pleurer. C’était une combattante dans l’âme et cela se remarquait à ses yeux. Ses yeux reflétaient sa détermination, sa motivation pour survivre, mais un seul faux pas lui couterai la vie. Malgré le gros danger que ce défi représentait pour sa vie, celle-ci trouvait sa intéressant. Intéressant dans le sens où elle allait tester son accrochement à sa vie et voir à quel points celle-ci aimerai t-elle vivre. Elle reprit un élan, et donna un enchainement de coups à la bête. Au commencement, la vitesse était au rendez-vous mais Madoka commençait petit à petit à se fatiguer. Les coups qu’elle lancer étaient moins efficaces. Il faut dire qu’elle était mal barrée, son sort était entre ses mains. Elle se recula, regardant la bête de haut en bas pour trouver son angle mort. Un petit sourire s’esquissa. Elle venait de trouver la réponse à sa question. Elle se cambra avant de courir à gauche, en faisant croire qu’elle allait l’attaquer en pleine face. Mais malheureusement pour lui, celle-ci dévia son coup et tourna sur elle-même pour ainsi être derrière lui et lui trancha la tête. Des giclements de sang surgissaient sur les murs, un cri assourdissant se faisait entendre. Elle soupira de joie et se retourna pour s’en aller, mais elle avait l’impression que son corps ne lui obéissait plus. Du moins c’était ce qu’elle ressentait. Un étrange sentiment s’empara d’elle. Elle commença à regarder autour d’elle, elle avait l’impression que la salle où elle se tenait debout, tournait autour d’elle. De légers frissons parcouraient son corps. Ces pieds la portèrent jusqu'à une chambre, ses paupières devenaient lourdes et là, dans cette chambre elle s’endormit. Elle avait l’impression d’être réveillée mais pourtant elle dormait. Fallait admettre que ce château regorgeait de mystère. Les bruits des aiguilles de l’horloge, raisonnaient dans sa petite tête. Elle ouvrit ses yeux, et s’assit rapidement sur le lit où elle avait dormit pendant les deux heures qui s’étaient écoulés. Plusieurs images se bousculèrent dans sa tête, tous les évènements qu’elle avait vécus durant cette journée lui revenaient en mémoire. Un soupire d’agacement lui échappa. Elle bougea son bras, puis son pied pour ensuite secouer sa tête. Oui ces membres lui obéissaient bien alors comment expliquer l’étrange évènement qui s’était produit deux heures avant ? Elle se lança à la réponse de sa question. Elle réfléchit mais rien de cohérent à ses yeux ne lui venait en tête. Elle se mordilla la lèvre inférieure, alors qu’elle commença à s’énerver. Quelqu’un poussa la porte et entra. Elle voulut se lever, mais une fois de plus ses membres ne lui obéissaient pas. C’est à ce moment là, qu’une réponse lui vint. Le jeune homme avec une cape noir, la regardai d’un air amusé. Elle n’avait aucunement l’envie de tourner autour du pot, c’est pour cela qu’au lieu de se torturer l’esprit comme elle le faisait depuis le début. Celle-ci lui posa la question en attendant fermement une réponse claire et précise. - C’est toi qui m’as hypnotisée tout à l’heure ? lui dit-elle en grognant méchamment. - Hypnotisée n’est pas le mot exacte. Mais oui, c’est moi, ajouta t-il en la regardant.
Madoka n’avait qu’une seule envie celle de lui sauter dessus, de le mordre, le frapper. Mais en attendant, celle-ci n’était pas libre de ses mouvements, choses qui la perturbaient. Elle se disait que si elle avait persévérer pour rester en vie sa ne sera pas maintenant qu’elle mourra. Pour elle, c’était hors de question. Le jeune homme se rapprocha d’elle, et se mit face à elle en plongeant son regard dans le sien. Elle détourna son regard un peu gênée, mais surtout parce qu’elle avait peur qu’il l’hypnose avec une de ses techniques… Mais celui-ci la regardait toujours. - Ta technique a marché une fois mais marchera pas deux fois, lui lança t-elle en invitant son regard. - Arrête de voir le mal partout Madoka, lui répondit-il du tac au tac. - Comment connais-tu mon prénom ? Je ne te connais pas… - Peut être mais moi si je te connais. Crois-tu que tout ceci est une coïncidence ? - Heeein ? Comment te dire que je ne comprends rien à ce que tu me dis la ? Fit Madoka qui ne saisissait pas tout. - Je vais t’expliquer ! Lorsque tu t’es aventuré dans le forêt avec ta famille, tu as attiré mon regard et je voulais te tester pour savoir si tu étais vraiment celle que je cherchais. - Tu t’enfonces encore pire… Car je ne comprends toujours pas. - Depuis quelques années, je cherche une femme pour se tenir à mes côtés, mais toutes les anciennes sont mortes, fit-il avec un sourire en coin, et tu es la seule qui a survécu jusque là et… - Et tu crois vraiment que je serai celle qui restera à tes côtés ? Sa n’a aucun sens et puis je n’accepterai pas. A cause de ton souhait idiot, j’ai risqué ma vie et perdu mes proches et tu crois que je vais venir m’asseoir près de toi comme une gentille femme qui attend le retour de son mari ? Il ne faut pas trop rêver quand même ! - Hmm… Tu es bien têtu, dis donc. Mademoiselle prend de grand air. Le jeune homme prit Madoka par le menton et se rapprocha de ses lèvres pour ensuite l’embrasser. Madoka ne comprenait plus rien, mais en regardant le jeune homme dans ses yeux, son cœur se mit à battre et ses joues prirent une couleur rosée. A cause de ce jeune homme, son cœur battait la chamade… L’image que Madoka voyait de lui avait pris une autre tournure mais cette fois positive. Cet homme si mystérieux était l’homme qui venait de faire bousculer sa vie. - Moi c’est Tatsuo, lui fis le jeune homme avec un petit sourire envoutant. - Hn… Peux-tu désactiver ton sort, Prince. Pour que je puisse bouger à mon aise, ajouta Madoka en faisant les yeux doux. - Cela veut dire que tu acceptes de rester avec moi, ici ? - Je n’ai jamais dis une telle chose… soupira Madoka. - Ah bon ? Dont ce cas, tu resteras comme sa, hypnotisée. - Bon d’accord. T’as gagné… Tatsuo désactiva son sort et Madoka put bouger à son aise. Elle voulait rentrer chez elle… Mais cet inconnu avait besoin d’elle… Du moins c’était ce qu’elle ressentait. Elle ne ressentait plus de la haine mais de l’amour envers lui. Elle venait d’avoir le coup de foudre pour cet homme qui à cause de lui elle allait mourir. Mais pour elle, plus rien n’avait de l’importance du moins tant qu’elle serai avec son bien aimé. - Alors ? - Alors quoi… ? répondit Madoka. - Pourquoi tu souhaites rester avec moi ? Insita t-il. - Parce que j’ai l’impression que tu as besoin de moi… souria t-elle. Le jeune homme ne s’attendait pas sa mais alors pas du tout. Il fut encore plus surpris, lorsque celle-ci vint se blottir dans ses bras. Un léger petit sourire s’esquissa sur leurs lèvres. Il lui caressa les cheveux avant d’embrasser sa bien-aimée. On a beau détester mentalement une personne, le cœur est tellement têtue que se sera lui qui dira le dernier mot… Fiche par Vivaraise ©. Résultat du Jury ... Le vainqueur du concours ... La fille qui gagne ... Est ... RIVALE ALIAS MIRAJANE ! Félicitation Rivale ! Tu as impressionné le jury ! Mais ... J'ai eu , une surprise pour la 2° place ... La 2° place est entre Pérona / Akai ... Perdant la première place de 0,20 ... AKAI ! La 3° place revient à la Princesse Fantôme , alias Pérona ! Nous avons notre Top 3 ! Maintenant , la 4° place revient à une fille ... Oui , une fille entre L'Alcoolique , Mado' et Lisanna ... Laissant les 2 autres avec 2 points d'écart ... MADOKA ! Maintenant ... Il ne reste plus que les 2 soeurs ... Perdante du concours , malgré un bel effort d'écriture ... J'ai le regret de déclarer à la 6° et dernière place ... Kana Alpérona ... La Petite Lisanna obtient la 5° place en battant sa grande soeur de 0,17 points ! Sans plus attendre , voici les notes suivit des appréciations !- Appréciation de Yuka :
Histoire n°1 :
Note : 13/20 Avis : Franchement, j'aime bien. Y'a de l'idée pour l'histoire, mais je pense qu'on aurait pu encore plus exploiter l'idée de base. Sinon, va VRAIMENT falloir faire gaffe à l'orthographe et à la construction du texte. Les répétitions, c'est bien, mais faut pas en abuser. Faut utiliser des synonymes. Et puis, on "décapite" pas une porte ._. Pour améliorer le récit, elle/il aurait pu user des émotions du personnage pour nous faire entrer dans sa peau.
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Histoire n°2 :
Note : 18/20 Avis : Heu... Je dois dire que cette histoire m'a cloué le bec. J'ai rien à redire. J'ai relevé qu'une faute... Le reste du temps, j'étais trop absorbée par le récit ! C'est super bien raconté. Et tout y es. Parole, émotions. Je suis tellement rentrée dans la peau du personnage que j'en ai eu des frissons !
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Histoire n°3 :
Note : 18/20 Avis : Oui, malgré que la différence de registre, les deux histoires ont la même note. Cette histoire ci est beaucoup plus familière et beaucoup plus "normale". Mais la pression et le suspens sont toujours là. Cette histoire est super captivante. C'est comme si on était dans la pièce avec Chris dans le manoir, et qu'on en était sorti vivant, mais pas lui.
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Histoire n°4 :
Note : 17,5/20 Avis : Meeeeeeeeeec ! Ton histoire elle déchire. Je pourrais pas te dire vraiment pourquoi, mais elle m'a trop touchée. Ça m'a fait un coup au cœur. C'en est limite déstabilisant. Ce qui me chagrine, c'est le pavé. T'aurais du espacer tes lignes et faire des alinéas. Parce que voir un gros bloc comme ça, c'est pas plaisant.
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Histoire n°5 :
Note : 12,5/20 Avis : Raaaaaaaaah ! Encore une fois, une histoire avec une bonne idée de départ. Mais encore salie par le manque de relecture. Attention aux fautes de temps et d'accord ! Et surtout. SURTOUT à la ponctuation. La ponctuation, c'est ce qui rythme l'histoire. Sans ponctuation pas d'émotions.
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Histoire n°6 :
Note : 13,5/20 Avis : Enfin une histoire qui se termine bien ! (Enfin pas vraiment, mais je me comprends :3) Encore de la suite dans les idées. Et tout cela cochonner par des fautes d'orthographe et d'accord que l'on pourrait facilement effacées... Et aussi. Attention au répétitions, et aux mots oubliés !
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Au final, je crois que je pencherais pour la 2 aussi. Suivie de très prés par 3, puis la 4 et de la 6 et de 1 et enfin de la 5.
- Apprééciation de Lucy :
Pour le texte 1, je mets 12, les fautes me donnaient pas envie de lire, c'est déplaisant, et les phrases ne sont pas bien construites, mais l'histoire est intéressante.
Pour le texte 2, C'est vraiment bien décrit, je voyais très bien comment étaient les pièces, les couloirs, Ely ... Les émotions de E sont vraiment bien décrites aussi, tout est bien écrit, on rentre dans l'histoire, on stresse pour le personnage ... Bref, je trouve que c'est le meilleur texte. , et je mets 19, y a eu deux trois fautes d'orthographe, sinon je trouve que c'est vraiment bien.
Pour le texte 3, je mets aussi 18. J'aime bien l'histoire, on rentre aussi dedans, mais y a quelques fautes.
Pour le texte 4, je mets 18. Ouah, on reconnaît bien l'adolescent de 16 ans, l'histoire est touchante, le seul problème c'est qu'au passé simple, la terminaison à la 1ère personne du singulier est "ai" ! Et qu'il fait prévenir que certains propos sont ... Déconseillés aux jeunes x)
Pour le texte 5, je mets 12. Trop de fautes, l'histoire est pas mal mais trop de problèmes de construction de phrases et d'orthographes.
Pour le texte 6, je mets 14. J'ai bien aimé l'histoire, mais encore une fois, problème de fautes.
Donc je dirai : textes 2, 4, 3, 6, 5, 1 .
- Appréciation de White :
Texte 1 : 11/20
Les idées sont originales, parfois assez drôles mais il y a trop d’incohérence, de fautes d’orthographes et de syntaxe qui rendent la lecture difficile. J’ai aussi trouvée qu’il y avait trop de description (chose plutôt rare il faut l’avouer). Il aurait fallu peut être plus de précisions sur le personnage sachant que c’est un point de vue interne. Je n’ai donc pas trop accrochée à l’histoire.
Texte 2 : 19/20
J’ai franchement adoré. L’histoire est super bien écrite, elle est originale, on a autant de description que d’émotions. On se perd complètement dans l’histoire et c’est vraiment bien.
Texte 3 : 18/20
J’ai beaucoup aimé aussi. L’histoire est tout aussi bien écrite, le suspense est là. C’est également très fluide et agréable à lire. Le début est assez drôle et la fin m’a un peu fait penser aux séries américaines et ça m’a plus x)
Texte 4 : 15/20
L’histoire m’a bien fait marrer. On est plongé dans le récit et on se mêle a la foule sans problème, c’était vraiment pas mal. Par contre, ça aurait un peu mieux de faire plus de paragraphes pour aérer un peu le récit. Mais sinon l’idée est vraiment bien et le coup de la baignoire m’a bien fait rire !
Texte 5 : 13/20
Bon déjà, le début de ton histoire m’a fait penser à la Belle et la Bête et la suite un peu à Alice aux Pays des Merveilles x) (et le coup de la main plongée dans le sang, a HP mais bon je stoppe avec mes références...). Par contre j’ai trouvé dommage que ton histoire soit allée un peu trop vite parce que c’est une histoire intéressante si on la creuse un peu. Il faudra faire attention à l’orthographe et la syntaxe de tes phrases, c’est un peu confus.
Texte 6 : 12/20
L’histoire est pas mal, j’ai eu un peu de mal à m’accrocher mais il y a de bonnes idées et j’aime bien la fin x) Attention aux répétitions et aux erreurs de syntaxes également.
- Appréciation de Spinda :
Texte 1
Note :13/20 Commentaire : Histoire assez amusante et originale, par contre une petite incohérence avec la scène dans la piscine. Des fautes mais je pense que tu as essayé de faire de ton mieux.
Texte 2
Note :18/20 Commentaire : Très bonne histoire, je dois avouer que j'avais envie de dévorer la fin pour voir ce qu'allait devenir le personnage et garder le suspense sur le vrai nom du personnage est une bonne idée.
Texte 3
Note :14/20 Commentaire: Histoire plutôt bien et laisse assez de suspense.
Texte 4
Note :15/20 Commentaire : Histoire amusante qui peut bien résumé une fête d'anniversaire d'un adolescent en chaleur qui fini sa puberté ! J'ai bien rigolé en le lisant.
Texte 5
Note :12/20 Commentaire : Histoire assez simple, pas de rebondissement et quelques fautes d'orthographe.
Texte 6
Note :16,5/20 Commentaire : Histoire plutôt bien, agréable à lire et assez épuré. Je ne m'attendais pas du tout à ce que ça finisse en histoire d'amour mais je trouve que c'est plutôt bien interpréter.
- Moyenne des participants :
Texte 2 , Mirajane : 18,5 Texte 4 , Akai : 18,38 Texte 3 , Pérona : 17 Texte 6 , Madoka : 14 Texte 5 , Petite Lisanna : 12,38 Texte 1 , Kana Alpérona : 12,25
- Récompense pour Mirajane :
- Récompense pour Akai :
- Récompense pour Pérona :
- Récompense pour Madoka :
- Récompense pour Petite Lisanna :
- Récompense pour Kana Alpérona :
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| | | Bakura
Sexe : Messages : 2641 Date d'inscription : 28/11/2012 Âge : 25 Localisation : Au pays de l'Ice Tea ~ Emploi/loisirs : Te tuer peut-être ? Humeur : M'emmerde pas.
| Mer 27 Nov - 12:46 |
| GG à toi Bloubiii car même si je faisais pas partie du jury c'est ton histoire que j'ai le mieux apprécier félicitations =D
Quant aux autres je les adores aussi vous avez tous bien bosser je suis fière de vous 8)
*J'ai bien aimé le sadisme de Lili o/* |
| | | Namisa
Sexe : Messages : 5303 Date d'inscription : 25/07/2012 Âge : 24 Localisation : Avec mon Mirai Nikki ~ Emploi/loisirs : Dessin, embêter Aidan * sors * Humeur : De très bonne humeur !
| Mer 27 Nov - 16:24 |
| Wah j'avais presque deviner quels texte était à qui :3 Bravo à tous les participants 8) Sinon vous avez tous beaucoup d'imagination, j'ai mis très très très longtemps à lire toutes les histoires, plus de temps à lire qu'à dessiner x) Encore bravo :3 |
| | | Kana Alpérona
Sexe : Messages : 1515 Date d'inscription : 30/03/2013 Âge : 25 Localisation : Avec sa p'tite soeur Lu' :3 Emploi/loisirs : Musique me baigner
| Mer 27 Nov - 17:53 |
| Bravooooooooooo Mira ♥ Ton cadeaux ? un viol ? Mouahaha Je suis derniére c'est pas grave je me suis beaucoup amuser a faire l'histoir même si les fautes j'ai vraiment fait de mon mieux je comprend pas ! >_< |
| | | Yuka
Sexe : Messages : 770 Date d'inscription : 10/07/2012 Âge : 26 Localisation : . Emploi/loisirs : . Humeur : -.-
| Mer 27 Nov - 18:13 |
| Félicitations Mira !! Encore merci et bravo à tous les participants pour toutes ces belles histoires que je pourrais raconter à mon frère avant qu'il aille dormir ! :3 ♥ |
| | | Akai
Sexe : Messages : 4878 Date d'inscription : 12/05/2013 Âge : 30 Localisation : Mont Aokigahara Emploi/loisirs : Distributeur de cordes Humeur : Resplendissante !
| Mer 27 Nov - 18:21 |
| Bon euh Big up à tous déjà et félicitations à Mira x) j'ai lu quelques passages de chaque texte pour l'instant, mais y'avait des choses cools ( je lirai en entier ultérieurement héhé). Sinon je ne m'attendais pas à finir deuxième avec ce texte c'etait vraiment pour rigoler un peu mais ça me touche qu'il ait un peu plu ou fait passer un bon moment au jury XD * aux autres aussi qui sait * Les dessins de Misa sont sympas, j'aurais tendance à demander pourquoi tu as choisi de dessiner celle avec les menottes en fourrure pour le mien ? XD
Les appréciations du jury à l'égard de mon texte, je suis assez d'accord ! ( go s'acheter un Bescherelle pour 'ai' au passé simple et sauter des lignes + alinéas et j'aurai pu faire des paragraphes détaillés pour les relations personnages - protagoniste mais ça aurait été vraiment long XD ) |
| | | Namisa
Sexe : Messages : 5303 Date d'inscription : 25/07/2012 Âge : 24 Localisation : Avec mon Mirai Nikki ~ Emploi/loisirs : Dessin, embêter Aidan * sors * Humeur : De très bonne humeur !
| Mer 27 Nov - 18:50 |
| Akai c'est ca que le dessin le plus clair que j'ai vu dans ma tête quand j'ai lu XD |
| | | Spinda
Sexe : Messages : 7644 Date d'inscription : 23/08/2012 Âge : 25 Localisation : Fucking Noot Noot ! Emploi/loisirs : Métier de gif humain à plein temps Humeur : R U N
| Mer 27 Nov - 19:08 |
| Han mais tu as montré mes commentaires D: (j'fais trop sérieuse, ça m'énerve) J'croyais que c'était anonyme é.è /sbaf/
Bref, félicitation à ma Sam ! *-* |
| | | Kokonut
Sexe : Messages : 7509 Date d'inscription : 29/08/2012 Âge : 26 Localisation : Guilde de Fairy Tail Emploi/loisirs : Les mangas,le sport,la console etc... Humeur : (^ '-' )>
| Mer 27 Nov - 19:44 |
| Aoutch , j'ai pas lu tous les textes , mais je doute franchement que quelqu'un ait pu faire mieux que Bloobs ! Pas étonnant que ce soit elle qui gagne , méga GG *-*
Mais j'vais quand même dire bravo à tous , et aller lire les histoires qu'il me manque de ce pas , ahah
Encore une fois GG à tous , et j'ai envie de dire pour conclure que dans un texte , ce qui donne envie de le lire avant même d'avoir commencé , c'est la présentation , donc faut faire des paragraphes avec alinéas et tout le bordel , ouais , c'est la vie 8D /PAN/ Aussi quand y a vraiment trop de fautes , ça peut vraiment enlever l'envie de lire un texte , donc attention à ça !
Enfin , le commentaire de certains juges abordant le surplus de fautes d'orthographe sont comiques : une, deux , voire trois fautes dans leurs propres commentaires de quelques phrases x) *JEDISCAJEDISRIEN*
Ahem , bon bref , well done aux participants ! O: |
| | | Mirajane
Sexe : Messages : 1156 Date d'inscription : 16/12/2012 Âge : 27 Localisation : Wonderland o/ Emploi/loisirs : Manger ~ blouber ~ dormir ~ flooder Humeur : Bloub
| Sam 30 Nov - 11:39 |
| Déjà désolée de rep' un peu en retard... >.> [Mais c'est deja bien que je post hein, alors vous plaignez pas D8 *sort* ]
Bref, j'suis super contente d'avoir gagné et vos commentaires m'ont fait trooop plaisirs *^* ♥ J'ai lu vos histoires et j'ai kiffé la tienne Pero' 8D ! Mais les autres étaient super aussi ~ Et bravo a Akai qui a failli me battre o/ |
| | | | | | | | Concours d'écriture ! [RESULTAT] | |
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