L'histoire des héros de Direction One Piece.

Oh... Mira'... Ma Mira' à moi. Pff... Faudrait que je demande à Akai d'instaurer des cours le dimanche. Sans Mira', je m'ennuie moi. Oh, j'vais écrire une musique. Hum... Le titre. Mira'. Les paroles ? Encore du Mira'. L'auteur ? L'Homme de Mira'. Heu, pas encore, mais si en fait. Bon...

Mira' ! Mira' ! Mira' ! Mira' !
Oh si tu savais... J'rêve de toi !
Je m'ennuie sans toi, et ton p'tit corps !
Tu m'es précieuse... Comme de l'or !
Oh Mira'. Just Mira' ! Mira' ! Just Mira' !

Pas d'inspiration. Je vais peut être aller devant chez elle pour la prendre en photo secrètement, comme tous les dimanches quoi. Bon, je reviens, je vais chez ma Miraaaa' !

Un professeur doit il simplement apprendre des matières à des élèves ? Non, il peut lui apprendre ce qu'est le désespoir.
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Aujourd'hui mon frère me réveilla en retard, génial. En ce moment, je trouvais qu'il avait l'air stressé, différent. Ma sœur, Lucy, pensait la même chose, mais nous n'osions pas lui en parler. Me préparant à la va vite, j'oubliais mes clés, mais ça, je ne le remarquerais que plus tard. L'horloge indiquait sept heures quarante, si je ne me dépêchais pas, je raterais le bus. La porte venait de claquer, ça devait être Lu' qui était parti ? Je me hâtais donc en décidant donc de ne pas déjeuner, comme d'habitude de toute manière.
Mon frère était comme tous les matins, devant la télévision. Il avait le temps de faire ce qui lui chantait, et je l'enviais après tout. Pendant que je me préparais, j'entendais ceux que disais les informations. Augmentation des impôts, terrorisme dans la ville, une femme aurait attaqué l’usine de nutella avec des lapins... Vraiment n'importe quoi. Bon, je fis abstraction à ce bruit de fond, je perdrai mon temps !
Dans le bus, j'entendis des choses qui me choquait. Un professeur de notre lycée, le lycée du Kanto, serait mort, tué par balle. C'était la CPE qui aurait prévenu certains parents. C'était la fille qui puait l'alcool à dix kilomètres qui m'interloqua :


« C'était le professeur qui aimait tant ses élèves, tu sais, Mr. Dragon ? »


Elle lança ça à la fille la plus sensible de ma classe, j'avais nommé Lisanna bien sûr. Celle ci éclata en sanglot. Tiens, je pensais à la fille qu'il préférait, Aurore, elle devait être dans un état catastrophé... Comment un professeur pouvait il être tué par balle ? Mr. Dragon faisait il des choses illégales ? Le connaissant, c'était que très peu probable.
Nous entrions au lycée du Kantô, et là, des professeurs distribuaient des uniformes. Tous noirs. D'après la rumeur, c'était le défunt professeur qui voulait ça. Nous allions donc en direction des vestiaires pour nous changer. Notre professeur principal, Mr. Akai, vint interrompre notre séance habillage pour nous demander de le suivre lorsque nous serions prêt. Un de mes amis proches que l'on surnommé Rondoudou vint me voir et me chuchoter à l'oreille :


« Fais attention à toi, dis toi que l'on ne voit pas tout, et que tu ne me verras plus. Je dois partir, c'est la décision de l... »


Le professeur Akai interrompit notre pseudo conversation en faisant claquer la porte. Il exigea une minute de silence de notre part car, soit disant, nous étions trop bruyant. Akai n'était pas pensif sur ce moment, il scrutait les élèves, cherchait il quelqu'un ? Un éventuel coupable ? Étrangement, le regard du professeur se stoppa sur Rondoudou, tandis que celui ci regardait le sol, sûrement en train de penser à notre cher et tendre professeur. Je cru voir une exquise sur son visage, mais je devais probablement rêver.
Monsieur Akai nous dit alors que nous étions disposer à rester dans la cour de récréation. Beaucoup de personnes sortirent sans prêter la moindre attention à notre professeur, alors qu'il semblait bouleversé. Du moins, c'était ce que je pensais. Après être sorti dans la cour, ma petite sœur était en présence de son amie, la fille panda alias Spinda. Elles arrivèrent dans ma direction, et la copine de ma sœur que je connaissais assez bien venu me dire :


« Oh Natsu ! A ce qui parrait, c'est un élève qui aurait fait le coup. C'est le prof' qui nous l'a dit. Et tu sais pourquoi les élèves sont tous réuni dans la cour ? Parce que les terminales et les premières n'ont jamais eu ce prof' et que la police estime que le coupable est un seconde. D'ailleurs, la prof' de littérature va venir annoncer les résultats de certains tests, enfin j'ai pas tout compris. »


Heu... Le prof' de littérature était bien Mademoiselle White ? Oui, mademoiselle, parce qu'elle avait la sainte horreur qu'on l'appelle madame. Abrégeons. Je vis au loin nos professeurs qui étaient accessoirement les seuls du lycée se diriger vers le bâtiment interdit comme on l'appelait, nous, simple lycéen. Je ne savais pas ce qui se tramait là bas, mais en tout cas, ça n'avait pas l'air top. Quelques instants plus tard, Mlle. White sorti de la salle et prit un micro. Celle ci citait le nom de nombreux élèves, et dans ceux là, la totalité de ma classe. Nous étions environ une trentaine dans ma classe, et il fallait ajouter une trentaine d'élèves, et voici le petit comité qui devait se rendre dans ce fameux bâtiment interdit. Pourquoi ? Je n'en savais encore rien. Tiens ? Pérona était à mes côtés, et je ne l'avais pas remarqué. Elle semblait... Paniqué, alors j'allais à sa rencontre :


« Péro' ? T'as un problème, ou tu penses à notre prof' ? »


Je préférais jouer sur la franchise. Elle me dévisagea, et elle ne me répondit pas. Elle me fit juste comprendre qu'elle savait ce qui nous attendait. Je continuais de la questionner et elle ne me répondit pas, elle accéléra. Hum ? Notre professeur d'économie, Madame Miu, était devant avec plusieurs clés en main. La tirade qu'elle nous avait prononcé allait changer à vie la définition du mot lycée dans ma vie.


« Bonjour, écoutez moi. Vous me connaissez tous, je suis Miu, mon prénom est Kita. Enfin bon. Vous savez, vos parents ont été secrètement convoqué. Ils se trouvent dans plusieurs salles différentes de notre établissement. Je suis votre professeur d'économie, mais aujourd'hui, je vais vous donner une autre leçon. Celle de la peur. Alors... Avec les clés que je suis en train de vous donner, je vais vous donner aussi une carte du lycée, personne n'aura la même, vous serez en duo. Le but du jeu ? Sauver vos familles. Comment les sauver ? Pourquoi avoir des clés ? Comment sont ils en danger ? C'est vraiment stupide les secondes. Alors pour les sauver, il suffit d'utiliser ses clés dans l'endroit indiquer de la carte. Vous désamorcerez donc des bombes, oui, j'aime bien tout ce qui explose, je suis comme ça. Si vous ne désamorcez pas ses bombes, elles feront un boum tellement mignon, que Yui en rigolera. Pour info', Yui est le nom d'une défunte élève, je la détestais. Donc maintenant que vous avez des clés et votre duo, bonne chance à travers les portes de la mort ! Si vous gagnez, je vous donnerais un vingt sur vingt, promis ! Aussi, vos uniformes, c'est pas l'autre fan de kiwi jaune alias Dragon qui vous l'a donné, c'est nous. Il y a du poison dessus, si vous l'enlevez, vous mourrez. C'est hanw non ? »


La personne avec qui j'allais braver cette épreuve était toute trouvée, c'était ma sœur évidemment. Nous nous regardions en nous faisons comprendre que nous sauverions notre frère. Interdit à l'échec. Dans le papier, il y avait écrit des choses incompréhensible, puis, la signature de la C.P.E à la fin, « Inori ». Hein ? L'autre Mirajane était prête à en découdre.


« Madame ? Vous savez, j'suis sûr que mon Shinou Lapinou va vous trahir pour me sauver, il a du nutella chez lui, donc je ne vais pas sauver ma famille, je vais le sauver pour son amour et pour son nutella. Maintenant, j'vais te casser la gueule avec ma super technique du krr krr. »


Elle courut en sa direction, mais Mirajane resta paralysé, ou du moins, ne bougeait plus. Qu'avait fait Mme. Miu ? Elle l'avait empoissonné ? Elle avait fait une super tech... Heu non. Elle avait... Un pot de nutella dans sa main. Ok. Elle le lança par la fenêtre, et Mira' sauta pour rattraper le pot de nutella. Génial.
Après ce cours moment de bêtise, avec Lucy, nous partîmes en direction de la salle du professeur White, c'était là où était la bombe. Nous n'avions pas le choix, nous devions nous dépêcher, sinon, Luffy mourra ainsi que bien d'autres personnes. Une tragédie sans précédent donc. En courant, beaucoup de questions trottait dans ma tête. La seule à laquelle je n'avais pas la réponse était la suivante : pourquoi les professeurs voudraient faire sauter le lycée et ses alentours alors qu'ils seraient prit dans l'explosion ? Une autre aussi, pourquoi il n'y avait personne dans les salles alors que nos représentants légaux étaient censé être là ? Plus le temps de réfléchir, nous ouvrions la porte de la salle cinq cent quinze, et là, il y avait un coffre avec écrit : « Coucou, c'est Madame Inori pour vous ! Vous voulez ouvrir ce coffre ? Montrez moi d'abord que vous en êtes capable en faisant une équation. »


Oh mon dieu. Lucy me fit signe de m'écarter, et elle prit un papier et écrivit pendant quelques minutes. Elle introduisit son équation que je n'aurais jamais réussi, et elle eut juste, comme d'habitude, ne la sous estimez pas, elle savait aussi faire des opérations au niveau du pourcentage. Le coffre s'ouvrir mais... Surprise, il y avait beaucoup de bombes en plastique. Toutes présentaient le même orifice qui laissaient entrer la clé, mais c'est qu'après une bonne minute que Lu' et moi trouvions la bonne. Mais... Lucy me dit à voix haute ce que je pensais :


« Natsu... Ça peut pas être des explosifs. C'est trop léger, il doit se passer autre chose. Désamorce ce truc au cas où, et après on part en courant dans le bâtiment interdit. »


J’acquiesçai en hochant la tête, puis tourna la clé. Un message sortait alors du coffre ainsi qu'une fumée rose fushia, je pensais donc directement au professeur Akai, il avait horreur du rose d'après les rumeurs qui circulaient.


« Salut ! Vous allez plongé dans un long sommeil, je vous souhaite bonne nuit ! A votre réveil, vous aurez une belle surpriise ! »


Voilà. Ce sont les seules choses que je me rappelais de cette journée. Lucy et moi étions tombé sur le sol. Et, nous nous étions endormi.