Nozomu Toshiki est un jeune professeur de lycée très pessimiste dont même les kanji de son nom forment le mot désespoir. C'est en tentant de se suicider en se pendant à une branche de cerisier qu'il rencontre Kafuka Fûra, une jeune fille au caractère totalement opposé au sien. Celle-ci, le "sauve" en quelque sorte et lui explique qu'il ne faut pas se suicider en un si beau jour de printemps. D'une naïveté et d'un optimisme débordant elle croit même que, comme ses parents, Nozomu n'a pas tenté de se pendre mais plutôt de se faire grandir et lui donne le nom de "Sous-chef Rose". Exaspéré par cette fille au point de vue si différent du sien, Nozomu s'en va, renonçant pour un temps à se suicider mais il n'est pas au bout de ses surprises car c'est en classe qu'il retrouve Kafuka qui se révèle être une de ses élèves. Mais Kafuka n'est pas si différente de ses camarades, et le professeur désespéré va devoir faire cours à des élèves très spéciaux...
Itoshiki Nozomu est le personnage principal de Sayonara Zetsubou Sensei. C'est un professeur et le plus jeune fils de la puissante famille Itoshiki. Bien qu'encore très jeune, Nozomu porte toujours un kimono, même quand il fait classe (sauf quand il retourne dans sa maison familiale). Ce n'est pas un professeur comme les autres puisque Nozomu est l'homme le plus pessimiste de la terre, dépressif et désespéré au point d'essayer très régulièrement de se pendre avec sa corde qu'il emporte toujours avec lui. Il fait passer son négativisme à sa classe en leur demandant des choses un peu loufoques comme d'écrire leurs trois souhaits les plus désespérés pour le futur, de raconter les dix plus grandes erreurs de leur vie ou de prouver leur identité. Chaque sujet l'amène à dire qu'il n'y a pas d'espoir en ce monde, et, il crie d'ailleurs très souvent, plusieurs fois par épisodes "Zetsubou shita !!! " qui signifie "Je suis désespéré". Ce qui lui colle assez bien lorsque l'on apprend que son nom, écrit à l'horizontal, signifie désespoir. Mais son désespoir tourne presque toujours au ridicule, voire à la paranoïa, et ce sont des choses futiles qui lui donnent envie de se pendre et non des mésaventures graves, par exemple lorsqu'il confond les ailes d'un sigle sur la casquette d'une équipe de baseball pour des cheveux, il crie que son âme est corrompue et accourt voir la psychologue du lycée, ou quand sa carte magnétique ne passe plus il s'imagine un complot mondial absurde. Il n'a d'ailleurs vraisemblablement pas envie de mourir puisque quand l'une de ses élèves, Kafuka Fuura, le pousse par inadvertance devant un train qui passait il s'écrit "Et si j'étais mort ? " alors que quelques secondes plus tôt il se débattait avec un agent de sécurité en hurlant "Laissez moi mourir s'il vous plaît". Nozomu est donc un personnage excentrique mais attachant, qui a fort à faire avec ses élèves, visiblement encore plus loufoques que lui, ce qui fait qu'il doit souvent mettre ses tentatives de suicide à plus tard pour s'occuper de sa classe.
Une étudiante qui voit la vie de la manière la plus positive possible. Elle est l'opposé de Nozomu. Elle a des explications bizarres pour les choses négatives : par exemple, elle appelle le suicide par pendaison "essayer de devenir plus grand" et le harcèlement "amour profond". Kafuka Fûra n'est qu'un pseudonyme dérivant du nom japonais pour Franz Kafka ; ce nom provient aussi du livre Kafka sur le rivage de Haruki Murakami.
Kiri Komori est une des étudiante de Itoshiki sensei. On la décrit souvent comme une hikikomori, mais contrairement à ceux-ci, elle habite en permanence a l'école. Et cela parce que Itoshiki l'a jadis convaincu de sortir de sa chambre et de venir a l'école ! Elle a de longs cheveux noirs et une peau tres blanche. Elle est aussi toujours enroulée dans sa couverture brune.
Une romantique qui harcèle et suit celui qu'elle aime, c'est une stalker. Elle a récemment changé de cible et est obsédée de Itoshiki Nozomu, lui causant des problèmes. Son nom de famille est un jeu de mots avec tsuneni tsukimatoi (常付きまとい), "toujours en train de suivre".
Constamment blessée parce qu'elle ne peut pas résister à l'envie de tirer sur les queues des animaux ; les gens pensent donc qu'elle est victime de violence domestique. Son nom dérive de kobushi wo abiru (拳浴びる), "voler de poings". Les iris de ses yeux sont de couleurs différentes.
Une étudiante qui voudrait que tout dans sa vie soit symétrique, égal. La raie de ses cheveux passe exactement au centre. Elle n'a pas été élue présidente de la classe, mais elle est souvent appelée comme ça à cause de son comportement. Son nom dérive du mot kicchiri, きっちり, "correctement".
Meru est une jeune fille très timide. Si timide qu'elle ne peut communiquer qu'avec des SMS (SMS qui sont d'ailleurs insultants). Son prénom Meru vient de mail en anglais et son nom Otonashi signifie sage, silencieuse.
Lorsqu'elle se met à parler, Meru se transforme en une sorte de "fille possédée" et sa voix semble sortir tout droit des enfers..
Un étudiant qui perd ses cheveux et est quasiment toujours ignoré. C'est lui qui a été élu président de la classe. Son nom est un jeu de mots sur kaga ga usui, sa présence ignorée ; Usui fait aussi référence à ses (peu de) cheveux. Il redevient "visible" que lorsque ses cheveux ne couvrent plus sa calvitie.
Mitama Mayo
Spoiler:
Étudiant n°30, à cause de ses yeux, Mayo semble être quelqu'un de méchant, sauf que c'est vraiment ce qu'elle est.
Elle ressemble tellement au stéréotype de la méchante que lorsqu'elle fait quelque chose de mal, les gens pensent que ce n'est pas elle.
Étudiant n°18, Ai est une des élèves de Nozomu Itoshiki. Elle est atteinte d'un complexe de culpabilité. Quoi qu'elle fasse, elle a l'impression de gêner tout ce qui l'entoure. Ce qui la contraint donc à s'excuser à chaque fois auprès des gens.
Kimura est une élève récemment transférée dans la classe de Nozomu Itoshiki.
Kimura est tiraillée entre ses deux personnalités, l'une de la japonaise où on l'appelle Kimura Kaede et où elle se montre très timide, l'autre de l'étrangère où on l'appelle Kimura Kaere et où elle a tendance de menacer les gens de les poursuivre en justice.
Étudiant n°8, Maria est une immigrante illégale qui est entré dans la classe de Nozomu Itoshiki après avoir acheté le numéro d'un des étudiants. Elle aime récupérer tout ce que les gens jettent. Du fait de sa petite taille et qu'elle soit une étrangère, ses camarades de classe ont envie de la protéger.
Étudiant n°28, Nami est une élève tout à fait normale, tellement normale que ses camarades de classe lui font sans cesse la remarque, ce qui la vexe profondément. Pour elle, le mot normal a un sens négatif.
Son nom se rapproche du mot "hitonami" qui signifie normal.
Arai est la conseillère des étudiants. Comme une confidente, Arai est souvent là pour écouter les problèmes du professeur Nozume. Elle est présentée au fil des épisodes comme une sadique qui insulte les hommes masochistes.
Son nom est une référence à Friedrich Nietzsche.
Pour faire simple, Sayonara Zetsubou Sensei est une perle du genre seinen comédie, série délirante et caricature excessive avec un personnage complètement barge et perturbé entouré de rôles carrément déjantés le tout forme un "Professeur Désespoir" bien entendu, l'ultra-optimiste, la hikikomori, la stalker, la fan de yaoi, , la maniaco-perfectionniste, l'immigrée clandestine, la fille culpabilisatrice, l'accro au téléphone portable, la femme fatale, la "méchante", le chauve invisible,la "normale" * lol* et j'en oublie, ce qui donne lieu à de nombreuses situations drôles, absurdes avec audace et originalité. La plupart des caractères présents dans l'anime tiennent de la caricature mais tout le monde peut se reconnaitre dans un voire plusieurs de ces personnages même si c'est purement exagéré je pense xD Voilà pour passer un bon moment avec sourire et originalité et audace visuels dans un genre qui a parfois tendance à s'essouffler, je conseille de le voir même si beaucoup de choses s'enchaînent parfois vite, du délire en toute subtilité c'est quelque chose d'unique...o/